エピソード

  • De l’entêtement à l’abandon : comment 2025 m’a ramenée à ma foi
    2025/12/18

    Avant quinze jours de coupure, j’avais besoin de poser un regard conscient sur ce que 2025 a été pour moi.


    2025, l’année de la foi incarnée

    S’il fallait résumer cette année en trois mots, ce seraient ceux-là :

    • Foi / Grâce

    • Métamorphose

    • Positionnement

    Cette année m’a plongée intensément dans la connexion au vivant, dans une relation intime et incarnée à Dieu.

    J’ai vécu de nombreux moments de grâce.

    Je me suis sentie profondément soutenue.


    Le début de l’année a été exigeant. Il m’a fallu faire un choix difficile : mettre de côté une initiation que j’avais construite pendant trois ans, et qui fonctionnait… mais qui ne vibrait plus juste. C’était un vrai deuil.

    Cette période m’a appris une distinction fondamentale : la différence entre persévérance et entêtement.


    Je me rendais compte que je restais accrochée à quelque chose par attachement et non plus par alignement.

    Lâcher cela m’a demandé de faire face à mes peurs, à mes rigidités, à mes mécanismes de contrôle.


    Quand l’on cesse de s’entêter, la vie répond

    C’est à ce moment-là que VIBRATION est né.
    Puis de nouveaux soins. De nouvelles manières d’accompagner.
    Une bascule du travail énergétique vers le travail vibratoire.


    Je me suis autorisée à mettre tout mon travail au service du divin, et non des injonctions.
    Et je me suis sentie profondément privilégiée d’être canal, réceptacle.


    Cette transformation a aussi impacté ma manière de transmettre. Former des thérapeutes, pour moi, ne peut plus se limiter à transmettre des protocoles.
    Il s’agit désormais d’aider chacun à :

    • ressentir sa propre médecine vibratoire

    • reconnaître la fréquence du divin qui le traverse

    • devenir un canal conscient et incarné

    C’est cette vision qui a donné naissance à une nouvelle forme de Transmission


    2025 a aussi été une année d’ancrage profond dans le corps et dans la matière.

    Certaines hygiènes sont devenues non négociables :

    • le mouvement quotidien (sport, danse, yoga, barre au sol)

    • la prière, matin et soir — et souvent plus

    • la méditation

    • la lecture

    • le temps hors écrans

    • la nature

    • les activités manuelles

    • les vraies coupures le week-end

    Tout cela a soutenu une écologie intérieure stable.


    Ce que 2025 m’a ancré dans la chair, c’est ceci :
    nous ne contrôlons pas tout.

    Quand on cesse de se crisper, quand on arrête de vouloir retenir ce qui n’est plus aligné, quelque chose de bien plus vaste devient accessible.

    La vie est mouvement.
    La foi est abandon.


    La fin de 2025 m’invite encore à affiner mon positionnement.
    Ouvrir des espaces où chacun retrouve sa vérité, sa foi, son lien au divin.


    Je ressens une gratitude immense. Pour tout ce qui m’a élevée. Pour tout ce qui m’a challengée.
    Pour celles et ceux qui m’ont suivie dans ces transformations.
    Qui ont résonné avec ce changement de posture.
    Qui ont marché à mes côtés, dans VIBRATION, les immersions, Transmission, le yoga holistique.


    C’est profondément émouvant.


    Et toi, quels sont tes trois mots pour 2025 ?

    Dépose-les en commentaire, là où tu liras ou écouteras ce partage.


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    29 分
  • De l’épuisement à l’alignement : comment Guada a réuni business, corps et âme grâce à Vibration
    2025/12/16

    Profite de 2026 pour commencer une nouvelle aventure, celle de te rallier à ton âme avec VIBRATION ici.

    Guada est née et a grandi en Argentine. À 18 ans, elle quitte son pays pour poursuivre ses études en Irlande, avant de s’installer en France, à Toulouse puis à Bordeaux.

    Guada s’intéresse à ce que le collectif juge négatif – bactéries, virus, champignons – et y perçoit aussi des fonctions essentielles, des forces nécessaires.

    Mais une autre facette est tout aussi présente : l’entrepreneuriat. Le business, la stratégie, la construction, la mise en mouvement. Elle complète son parcours par un MBA en direction d’entreprise.

    En parallèle, Guada découvre l’hypnose, les méditations collectives, les rituels, puis les constellations familiales.

    Après ses études, Guada travaille plusieurs années dans le secteur agro, avec des responsabilités importantes en gestion de projets nationaux et régionaux, en lien avec des institutions publiques et le ministère de l’Agriculture.


    Le burn-out arrive.

    Pendant cette période, Guada se forme. D’abord pour mieux comprendre les outils qui l’ont aidée : constellations, PNL, hypnose.

    Pourtant, malgré les consultations, les accompagnements, quelque chose manque encore. Comme s’il manquait l’élément qui relie tout.

    C’est à ce moment-là que Vibration entre en jeu.


    Après Vibration : l’unification


    L’intention de départ est simple et radicale : réaligner son activité avec son âme. Arrêter de compartimenter. Arrêter de chercher à rentrer dans une case.


    Après Vibration, ce qui change n’est pas seulement son positionnement. C’est sa posture.

    Guada ne cherche plus à se réduire pour être comprise.
    Elle ne choisit plus entre ses facettes. Elle les incarne.

    Ce que Vibration a transformé concrètement pour Guada


    Vibration n’a pas été pour Guada un accompagnement de plus, ni un simple réalignement professionnel. Cela a été un espace de réunification profonde. Là où elle fonctionnait encore par compartiments Vibration lui a permis de poser une structure claire, cohérente et incarnée autour de qui elle est réellement.


    Concrètement, cela lui a apporté une clarté intérieure et stratégique : elle sait aujourd’hui à qui elle s’adresse, pourquoi, et depuis quel endroit elle accompagne. elle a conscience de sa force et de son positionnement. Elle ne cherche plus à “faire entrer” son activité dans un cadre existant : elle crée le sien, aligné à sa vibration.


    Vibration lui a aussi permis de retrouver une stabilité énergétique et décisionnelle. Les choix ne sont plus mentaux ou dictés par la peur de se tromper, mais posés depuis un espace intérieur juste, calme et sûr. Cela se traduit par moins d’épuisement, plus de fluidité, et une manière d’entreprendre qui respecte son rythme, son corps et sa nature profonde.


    Vibration a offert à Guada une permission pleine et entière d’incarner sa singularité. Ne plus se réduire. Ne plus lisser. Ne plus douter de la légitimité de ce qu’elle porte.

    Découvre VIBRATION ici

    Rencontre Guada ici


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    35 分
  • Quand la foi est là… mais que l’on se sent seul avec elle
    2025/12/11

    Rejoins l'immersion FOI ici

    Cette solitude ne vient pas d’un manque de connexion au divin
    Quand tu pries, quand tu accueilles la grâce, tu sens que tu n’es pas seule.
    Tu sens la présence de Dieu, du Vivant qui enchante ton cœur.

    Mais la solitude humaine peut persister.

    Celle de ne pas trouver de communauté qui partage cette foi-là.


    Cette impression d’être orpheline d’une foi quand aucune étiquette ne colle vraiment.


    Trop sorcière pour la religion, trop croyante pour l’ésotérisme

    Quand j’étais plongée dans le chamanisme, l’énergie, je me sentais profondément reliée à la Terre, aux animaux, aux esprits.
    Et pourtant… je n’étais jamais totalement à ma place.

    Certaines pratiques ne résonnaient pas.
    Certains codes me limitaient.

    Et puis, quand je me tournais du côté des religions je retrouvais des enseignements magnifiques, des messages d’amour, des élans qui ouvraient grand mon cœur.
    Des paroles qui, parfois, me faisaient pleurer tant elles touchaient ma vérité.

    Mais là encore, quelque chose coinçait :
    le dogmatisme, la fermeture, la division, la condamnation de certaines pratiques…


    J’ai mis du temps à accepter que ma foi n’a pas de nom, pas de titre, pas de chapelle imposée.


    Et peut-être que toi aussi, ta foi ressemble à ça.
    Parce que c’est ta vérité.
    Parce que c’est ton chemin.

    Ce n'est pas un mélange incohérent : c’est ton langage avec le divin.


    Et parfois :

    • on n’ose pas montrer sa manière de prier

    • on n’ose pas dire qu’on croit en Dieu

    • on n’ose pas parler de grâce dans un milieu ésotérique

    • on n’ose pas parler de chamanisme dans un milieu religieux


    C’est cette solitude-là que j’ai envie de nommer aujourd’hui.


    Beaucoup de personnes ne cultivent leur foi que lorsqu’elles sont perdues.
    Elles y reviennent comme à une bouée, mais ne l’honorent pas lorsqu’elles vont bien.

    Et puis un jour, elles veulent reconnecter…
    Mais le chemin s’est couvert de mauvaises herbes.


    La foi, ça s’entretient.

    Il n’existe pas un seul chemin.
    Il existe le tien.


    Pourquoi j’ai créé l’immersion FOI

    Parce que j'ai vu — et vécu — que tant de femmes portent une foi puissante… mais isolée.
    Une foi lumineuse… mais jamais assumée pleinement.
    Une foi réelle… mais encore fragile parce que non incarnée dans la matière.


    L’objectif est double :

    1. Libérer ce qui a abîmé ta foi

    • croyances limitantes

    • blessures

    • jugements

    • peur d’être ridicule, naïve, ou “pas assez sérieuse”

    2. Révéler et nourrir ton chemin de foi personnel


    Nous commençons le 12 décembre et cheminons ensemble jusqu’au 13 janvier, au rythme de l’Avent et de la renaissance de la lumière.

    Ce mois est une invitation à :

    • tisser une relation intime avec Dieu

    • retrouver une foi incarnée, stable et solide

    • réapprendre la gratitude, la prière, la reliance

    • ouvrir ton cœur à la grâce et au miracle

    • te sentir enfin accompagnée dans ce chemin sacré

    L’immersion se fait en petit groupe pour que chaque voix, chaque foi, chaque vérité puisse vivre, respirer, exister.


    Les inscriptions ferment ce soir. Rejoins l'immersion FOI ici


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    15 分
  • Le temps de l’Avent : se rappeler que ta lumière est sacrée
    2025/12/09

    Découvre l'immersion FOI ici

    Décembre est un temps pour descendre en toi, rallumer ta propre lumière, et renouer avec ta foi et le divin.


    L’Avent : un mouvement de descente à l’intérieur


    Nous sommes dans le temps de l’Avent : avant Noël.

    • Les jours raccourcissent.

    • La lumière extérieure diminue.

    • Le corps demande du repos, du chaud, du cocooning.

    L’hiver nous pousse à l’introspection.


    L’Avent, c’est ce temps de préparation où tu crées l’espace pour que cette lumière puisse redescendre dans ta conscience :

    • temps de silence,

    • moments de recueillement,

    • prière, contemplation

    • ralentissement

    Les symboles de Noël comme portes vers ta propre lumière

    1. Les lumières, les bougies, le feu

    • Rallumer la flamme dans ton foyer → ta maison, ton espace de vie.

    • Rallumer la flamme dans ton foyer intérieur → ton cœur, ton âme.

    Chaque flamme que tu allumes peut devenir un acte conscient :

    “Je rappelle la lumière dans ma vie.
    Je reconnais la présence du divin en moi.
    Je choisis d’honorer ma lumière, même en pleine nuit.”

    Ce ne sont plus “juste” des bougies : ce sont des actes de foi.


    2. Le sapin : un axe entre Terre et Ciel
    C’est un arbre de vie :

    • il plonge ses racines dans la Terre → ton incarnation, ta matière, ton corps,

    • il élève ses branches vers le Ciel → ta reliance au divin, à Dieu, au grand tout ;

    • en haut, tu poses l’étoile → symbole de guidance, de foi, de lumière qui montre le chemin.

    Et au pied du sapin ? Les cadeaux.

    Les présents, ce sont aussi les expériences de ton année.
    Les “belles”, les difficiles, les inattendues, les dérangeantes.


    3. Union

    Même si ta famille est compliquée, même si tu ne fêtes pas Noël “dans les règles”, même si tu es seule :
    l’énergie de cette période vient te rappeler :

    “Tu es reliée aux autres êtres, au vivant, à Dieu.
    Tu n’es pas séparée, même quand tu te sens isolée.“

    Noël est la fête de l’union invisible :

    • entre toi et les autres,

    • entre toi et l’invisible,

    • entre toi et le divin.


    4. L’enfant divin et ton enfant intérieur

    Qu’on parle de la naissance de Jésus, de l’Enfant Divin

    ➡️ tu es, toi aussi, enfant du Divin, du créateur.

    L’Avent te propose :

    • de retrouver ta pureté originelle

    • de prendre soin de ton enfant intérieur

    • de laisser renaître cette part de toi qui sait intuitivement qu’elle est reliée à plus grand qu’elle.


    l'Avent te rappelle que :

    • tu fais partie d’un grand écosystème vivant,

    • nous sommes tous reliés par une même lumière,

    • ce lien ne dépend pas de la religion, du pays, et il ne tient qu'à toi de faire jaillir cette lumière relié à Dieu que tu possèdes à l'intérieur de toi et de l'incarner dans la matière.


    Il est donc le temps parfait pour prendre soin de ta foi, créer ton propre chemin incarnée vers elle et ouvrir ton cœur à la Grâce.
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    Il reste 2 places uniquement.



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    27 分
  • Mon chemin vers ma foi
    2025/12/04

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    Aujourd’hui, j’avais envie d’aller plus loin que ma définition de la foi… et de vous partager comment moi, j’ai retrouvé la mienne.


    J’ai toujours eu la foi, sans savoir que c’en était une

    J'ai toujours vus le verre plein et je portais cette certitude tranquille : si on y croit, tout est possible.

    Je ne parlais pas encore de foi.


    Croire n’est pas un risque : c’est une ouverture.

    Avec le temps, j’ai compris que beaucoup évitent la foi par peur de la frustration.
    Parce que l’ego déteste perdre le contrôle, être surpris, être déçu.
    Mais la foi n’a jamais promis l’absence de frustration : elle promet un cap, pas une garantie.

    La vie m’a montré — encore et encore — que si quelque chose ne se passe pas comme prévu, c’est soit un enseignement, soit une redirection vers mieux.
    Et cette manière de regarder la vie m’a permis de traverser, de rebondir, de m’élever.


    La foi nous rappelle :

    • que notre mental ne voit pas tout

    • que notre ego ne comprend pas tout

    • que quelque chose de bien plus vaste œuvre avec nous

    • que les détours ne sont pas des punitions mais des réajustements

    Et c’est là que tout bascule :
    la foi devient un moteur — pas une béquille.


    Pendant longtemps, j’ai réservé la foi aux moments difficiles.
    Je m’y accrochais quand ça tanguait, puis je la délaissais quand tout allait bien.

    Mais une foi entretenue uniquement dans la douleur reste fragile.
    Une foi pratiquée même quand tout va bien devient indestructible.


    2024-2025 : l’année où ma foi m’a transformée

    2024 a été une année charnière.
    Une année de doutes, de mises à nu, de repositionnement profond dans mon entreprise et dans ma mission.

    J’ai compris que Initiation, mon ancien coven, ne vibrait plus avec la nouvelle version de moi.
    Et j’ai résisté… longtemps.

    Et c’est précisément dans le vide créé par ce renoncement que VIBRATION est descendu.


    Le jour où j’ai reçu VIBRATION en canalisation, tout s’est aligné.

    C’est ce jour-là que tout a basculé.

    J’ai compris :

    • pourquoi je suis là

    • ce qui passe à travers moi

    • ce que je dois transmettre

    • et d’où vient véritablement ma puissance


    J’ai senti Dieu dans ma vie — et en moi.
    Et ma foi s’est décuplée.


    Je n’avais jamais prié avant 2024. Je ne savais pas comment faire. Un jour où je n’ai pas pu prier, j’ai senti un manque.

    La prière est devenue une hygiène spirituelle, un besoin vital, un refuge.


    En 2025, j’ai traversé une situation éprouvante.
    Le genre de situation qui, autrefois, m’aurait fait perdre pied.

    Cette fois-ci, je suis restée droite. Alignée. Stable.


    Dans les textes sacrés, on retrouve cette même idée :

    • La foi déplace les montagnes.

    • La foi guérit.

    • La foi fait marcher sur l’eau.


    La foi est un superpouvoir — mais un superpouvoir qui se cultive.


    Aujourd’hui, je me sens guidée. Je me sens accompagnée.

    Je sais que ma foi est un chemin que j’ai débroussaillé, que j’ai foulé, que j’ai incarné.
    Et maintenant, c’est depuis ce chemin que j’accompagne les autres.

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    36 分
  • La Foi : un abandon qui ouvre les portes.
    2025/12/02

    Pour moi, la foi est l’un des fondements de notre vie incarnée. Elle nous permet de revenir à l’espace juste, celui du cœur.
    Elle nous ramène au présent, elle nous dépose, elle nous recentre. Elle ouvre la porte d’une existence alignée avec notre âme.

    Et j’ai vraiment la conviction que, dans une société de plus en plus coupée du sens, du sacré et de l’âme, cultiver la foi n’est plus seulement important — c’est vital.


    La foi demande de lâcher le contrôle, de se détacher du mental, de cesser de tout vouloir comprendre, analyser, justifier.

    Elle demande d’accepter l’idée que nous ne maîtrisons pas tout.

    Et ça, notre ego le vit comme un danger.

    L’ego est construit sur la peur :
    – peur de souffrir
    – peur de manquer
    – peur d’échouer
    – peur d’être sans repères
    – peur de perdre le contrôle

    Son rôle, tel qu’il l’a appris, est d’éviter la douleur… quitte à nous enfermer dans des cages dorées, des identités rigides, des carcans qui semblent protecteurs mais qui nous coupent de notre âme.


    Beaucoup se lancent dans la spiritualité ou le développement personnel pour chercher, comprendre, mettre du sens, mais finissent par remettre leur pouvoir à l'extérieur
    Mais c’est une fuite subtile.

    Parce que la foi ne se trouve ni dans une justification astrologique, ni dans un tirage de cartes rassurant, ni dans une analyse sans fin.

    La foi est intérieure.


    La plupart des peurs ne sont pas réelles.
    Elles sont des projections dans un futur qui n’existe pas encore.

    J’aime beaucoup l’enseignement du Nouveau Testament qui dit que les oiseaux ne s’inquiètent ni de leur nourriture ni de leur chaleur.

    Cet enseignement rappelle que la nature ne doute pas de son lien au divin.

    Nous, si.

    Parce que nous spéculons.
    Nous construisons des scénarios catastrophes.
    Nous amplifions nos blessures.
    Nous perdons pied dans le mental.

    La foi nous ramène au présent.
    Et le présent, lui, est toujours gérable.
    Toujours accessible.


    La vraie foi n’est pas passive : elle est active

    Il y a une phrase que j’aime particulièrement :

    « Aide-toi, et le Ciel t’aidera. »

    Avoir la foi ne veut pas dire rester immobile en attendant des miracles.
    Avoir la foi, c’est :

    – faire sa part,
    – poser les actions justes,
    – s’engager dans sa propre évolution,
    – puis lâcher, confier, s’abandonner.

    La foi est un espace où le divin rencontre ton mouvement.

    Elle ne remplace pas ton engagement.
    Elle l’amplifie.


    Croire, ce n’est pas se raconter des histoires.
    Ce n’est pas nier la réalité.

    C’est traverser les épreuves, les tempêtes, les remises en question… sans perdre la lumière intérieure.

    C’est accepter que tout est éphémère, que tout passe, que tout évolue.


    Avoir foi en Dieu, c’est essentiel.
    Mais avoir foi en soi l’est tout autant.

    Les sauveurs extérieurs n’existent pas.


    Ce que la foi libère en toi :

    • les peurs inventées

    • les illusions du mental

    • les projections du futur

    • les prisons dorées

    • les identités figées

    • les conditionnements

    • les blessures non digérées

    • les schémas de protection obsolètes

    • le contrôle épuisant

    • l’impression d’être seule

    Et ce qu’elle réveille :

    • ton pouvoir créateur

    • ta confiance

    • ta paix

    • ton lien au divin

    • ton âme

    • ton illimité

    • ta souveraineté



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    27 分
  • La responsabilité : la clé pour se reconnecter à son âme et sortir de la victimisation
    2025/11/28

    On ne peut pas se connaître sans être sincère avec soi-même

    Quand tu entres réellement en quête de toi, tu ne peux plus tricher.

    La sincérité implique la responsabilité.

    Car sans responsabilité, la quête de soi devient une fuite maquillée en spiritualité, un appel au sauveur extérieur, une recherche de douceur qui anesthésie plutôt qu’elle ne libère.

    Beaucoup pensent vouloir guérir… mais résistent à la guérison parce qu’elle implique un basculement :

    • se défaire des étiquettes qui ont servi de refuge,

    • sortir d’identités forgées dans la douleur,

    • renoncer à attirer l’amour, l’attention ou le soutien par la souffrance,

    • s’ouvrir à la vulnérabilité réelle,

    • accepter de ne plus être « la personne en difficulté »,

    • oser la réussite, la lumière, la force.

    Ce sont des enjeux profonds qui touchent directement le système nerveux.
    Ce n’est pas de la mauvaise foi.
    C’est un mécanisme de survie.


    Certaines personnes veulent aller mieux mais restent attachées à leurs souffrances. Pas par choix conscient — par protection. Parce qu’elles ont la croyance que :

    • sans ce mal-être, elles ne seront plus aimées ;

    • en se libérant, elles perdront une identité ;

    • aller bien les rendra moins intéressantes, moins soutenues, moins entourées ;

    • la force qu’elles deviendraient dérangerait ;

    • la réussite ferait peur.

    Le système nerveux préfère la souffrance connue à la liberté inconnue.

    La souffrance devient une zone de confort.
    Pas agréable — mais rassurante.


    La responsabilité, c’est le choix d’oser guérir

    Guérir implique de traverser ce qui fait peur, de regarder là où ça pique, de sentir ce qu’on avait anesthésié depuis longtemps.

    Oser guérir, c’est accepter :

    • de lâcher les illusions de l’ego,

    • de quitter les mécanismes de protection,

    • de sortir du rôle de victime,

    • de renoncer à la facilité de blâmer l’autre,

    • de se confronter à soi-même,

    • d’écouter ce qui dérange,

    • d’entendre ce qui met en vulnérabilité.


    La responsabilité, c’est aussi la fin de l’illusion que “l’autre va nous sauver”

    Un thérapeute n’est pas un magicien.
    Il n’enlève pas la douleur à ta place.

    Il éclaire.
    Il ouvre des portes.
    Il accompagne.
    Il tient la main.

    Mais il ne marche pas à ta place.

    La réussite de ton chemin ne dépend pas de lui.
    Elle dépend de toi, de ta présence, de ta capacité à t’impliquer, à entendre, à ressentir, à transformer, à t’assumer.


    Le non-choix est aussi un choix

    Éviter de choisir, rester dans le flou, repousser, attendre… c’est déjà une direction.

    Un choix guidé par la peur.
    Un choix qui évite l’inconfort.
    Un choix qui maintient l’ancien.

    Prendre ses responsabilités, c’est sortir de cette ambiguïté.
    C’est assumer ses décisions, ses actions, ses renoncements.


    Responsabilité : la porte étroite qui mène à la liberté

    Nous vivons dans un système qui nous a coupés de la responsabilité, qui nous conditionne à dépendre de l’extérieur, à déléguer notre pouvoir, à oublier ce que nous portons en nous.

    Retrouver la responsabilité, c’est sortir de cette matrice.

    C’est cesser de fuir.
    Cesser de se victimiser.
    Cesser de tout remettre sur l’extérieur.
    Cesser de se cacher derrière les anciennes identités.


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    27 分
  • Sortir des cases de la spiritualité : revenir à la simplicité, revenir à soi
    2025/11/27

    Quand la spiritualité devient une fuite de soi

    Certaines personnes entrent dans la spiritualité avec le désir sincère de mieux se connaître. Mais pour d’autres, la quête subtile devient un espace où l’on peut éviter de se regarder en face.

    C’est plus fréquent qu’on ne le croit.

    On se réfugie dans l’invisible.
    On cherche des explications dans les vies antérieures.
    On invoque les lignées, la mémoire, les ancêtres…


    La spiritualité de surface : la quête qui ne transforme rien

    Nous vivons dans une société qui adore la facilité : rapide, beau, efficace, sans douleur.
    Et ce biais a contaminé la spiritualité.

    Rituels “miracles”, manifestations instantanées, symboles à la chaîne, connexions pluri-énergétiques toutes les cinq minutes…
    Mais sans jamais aller regarder les blessures qui, elles, dictent encore tout ton rapport au monde.


    La vérité, c’est que la transformation demande de l’honnêteté.
    De la profondeur. Du courage. Et une vraie volonté de te rencontrer.


    Sortir des cases : la spiritualité n’est pas un nouveau moule

    Beaucoup arrivent à la spiritualité parce qu’ils ne trouvent pas leur place dans la société.
    Ils cherchent un espace où respirer enfin.

    Mais sans s’en rendre compte, ils entrent dans une nouvelle case.

    Dogmes, injonctions, codes implicites, “bonne manière de faire”…
    Même dans la spiritualité, il y a des guerres d’ego et de légitimités.

    Or, tu es beaucoup trop vaste, beaucoup trop complexe, beaucoup trop unique pour te laisser enfermer dans une boîte — même une boîte dorée.

    Ton âme n’est pas faite pour suivre un modèle.
    Elle est faite pour créer sa propre voie.


    Parce que chaque chemin spirituel est singulier.
    Et tous mènent au même endroit : l’unité.


    Vouloir développer ses “clairsens” sans écouter son corps : une illusion fréquente

    Dans la spiritualité moderne, la clairvoyance et la clairaudience sont mises sur un piédestal.
    Comme si percevoir l’invisible était une preuve de “niveau spirituel”.

    Mais comment veux-tu ouvrir tes perceptions subtiles si tu n’habites même pas ton corps ?
    Tu veux ressentir l’invisible ?
    Commence par ressentir ton corps.


    Revenir à la simplicité : la spiritualité incarnée
    Elle n’a pas besoin de mille rituels, mille outils, mille informations.
    Elle ne cherche pas à impressionner.

    Elle demande simplement :

    • d’être vrai avec toi

    • de revenir au corps

    • de revenir au cœur

    • d’ancrer le divin dans la matière

    • d’assumer tes parts, tes peurs et tes élans

    • et de prendre ta responsabilité intérieure



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