エピソード

  • La Foi : un abandon qui ouvre les portes.
    2025/12/02

    Pour moi, la foi est l’un des fondements de notre vie incarnée. Elle nous permet de revenir à l’espace juste, celui du cœur.
    Elle nous ramène au présent, elle nous dépose, elle nous recentre. Elle ouvre la porte d’une existence alignée avec notre âme.

    Et j’ai vraiment la conviction que, dans une société de plus en plus coupée du sens, du sacré et de l’âme, cultiver la foi n’est plus seulement important — c’est vital.


    La foi demande de lâcher le contrôle, de se détacher du mental, de cesser de tout vouloir comprendre, analyser, justifier.

    Elle demande d’accepter l’idée que nous ne maîtrisons pas tout.

    Et ça, notre ego le vit comme un danger.

    L’ego est construit sur la peur :
    – peur de souffrir
    – peur de manquer
    – peur d’échouer
    – peur d’être sans repères
    – peur de perdre le contrôle

    Son rôle, tel qu’il l’a appris, est d’éviter la douleur… quitte à nous enfermer dans des cages dorées, des identités rigides, des carcans qui semblent protecteurs mais qui nous coupent de notre âme.


    Beaucoup se lancent dans la spiritualité ou le développement personnel pour chercher, comprendre, mettre du sens, mais finissent par remettre leur pouvoir à l'extérieur
    Mais c’est une fuite subtile.

    Parce que la foi ne se trouve ni dans une justification astrologique, ni dans un tirage de cartes rassurant, ni dans une analyse sans fin.

    La foi est intérieure.


    La plupart des peurs ne sont pas réelles.
    Elles sont des projections dans un futur qui n’existe pas encore.

    J’aime beaucoup l’enseignement du Nouveau Testament qui dit que les oiseaux ne s’inquiètent ni de leur nourriture ni de leur chaleur.

    Cet enseignement rappelle que la nature ne doute pas de son lien au divin.

    Nous, si.

    Parce que nous spéculons.
    Nous construisons des scénarios catastrophes.
    Nous amplifions nos blessures.
    Nous perdons pied dans le mental.

    La foi nous ramène au présent.
    Et le présent, lui, est toujours gérable.
    Toujours accessible.


    La vraie foi n’est pas passive : elle est active

    Il y a une phrase que j’aime particulièrement :

    « Aide-toi, et le Ciel t’aidera. »

    Avoir la foi ne veut pas dire rester immobile en attendant des miracles.
    Avoir la foi, c’est :

    – faire sa part,
    – poser les actions justes,
    – s’engager dans sa propre évolution,
    – puis lâcher, confier, s’abandonner.

    La foi est un espace où le divin rencontre ton mouvement.

    Elle ne remplace pas ton engagement.
    Elle l’amplifie.


    Croire, ce n’est pas se raconter des histoires.
    Ce n’est pas nier la réalité.

    C’est traverser les épreuves, les tempêtes, les remises en question… sans perdre la lumière intérieure.

    C’est accepter que tout est éphémère, que tout passe, que tout évolue.


    Avoir foi en Dieu, c’est essentiel.
    Mais avoir foi en soi l’est tout autant.

    Les sauveurs extérieurs n’existent pas.


    Ce que la foi libère en toi :

    • les peurs inventées

    • les illusions du mental

    • les projections du futur

    • les prisons dorées

    • les identités figées

    • les conditionnements

    • les blessures non digérées

    • les schémas de protection obsolètes

    • le contrôle épuisant

    • l’impression d’être seule

    Et ce qu’elle réveille :

    • ton pouvoir créateur

    • ta confiance

    • ta paix

    • ton lien au divin

    • ton âme

    • ton illimité

    • ta souveraineté



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    27 分
  • La responsabilité : la clé pour se reconnecter à son âme et sortir de la victimisation
    2025/11/28

    On ne peut pas se connaître sans être sincère avec soi-même

    Quand tu entres réellement en quête de toi, tu ne peux plus tricher.

    La sincérité implique la responsabilité.

    Car sans responsabilité, la quête de soi devient une fuite maquillée en spiritualité, un appel au sauveur extérieur, une recherche de douceur qui anesthésie plutôt qu’elle ne libère.

    Beaucoup pensent vouloir guérir… mais résistent à la guérison parce qu’elle implique un basculement :

    • se défaire des étiquettes qui ont servi de refuge,

    • sortir d’identités forgées dans la douleur,

    • renoncer à attirer l’amour, l’attention ou le soutien par la souffrance,

    • s’ouvrir à la vulnérabilité réelle,

    • accepter de ne plus être « la personne en difficulté »,

    • oser la réussite, la lumière, la force.

    Ce sont des enjeux profonds qui touchent directement le système nerveux.
    Ce n’est pas de la mauvaise foi.
    C’est un mécanisme de survie.


    Certaines personnes veulent aller mieux mais restent attachées à leurs souffrances. Pas par choix conscient — par protection. Parce qu’elles ont la croyance que :

    • sans ce mal-être, elles ne seront plus aimées ;

    • en se libérant, elles perdront une identité ;

    • aller bien les rendra moins intéressantes, moins soutenues, moins entourées ;

    • la force qu’elles deviendraient dérangerait ;

    • la réussite ferait peur.

    Le système nerveux préfère la souffrance connue à la liberté inconnue.

    La souffrance devient une zone de confort.
    Pas agréable — mais rassurante.


    La responsabilité, c’est le choix d’oser guérir

    Guérir implique de traverser ce qui fait peur, de regarder là où ça pique, de sentir ce qu’on avait anesthésié depuis longtemps.

    Oser guérir, c’est accepter :

    • de lâcher les illusions de l’ego,

    • de quitter les mécanismes de protection,

    • de sortir du rôle de victime,

    • de renoncer à la facilité de blâmer l’autre,

    • de se confronter à soi-même,

    • d’écouter ce qui dérange,

    • d’entendre ce qui met en vulnérabilité.


    La responsabilité, c’est aussi la fin de l’illusion que “l’autre va nous sauver”

    Un thérapeute n’est pas un magicien.
    Il n’enlève pas la douleur à ta place.

    Il éclaire.
    Il ouvre des portes.
    Il accompagne.
    Il tient la main.

    Mais il ne marche pas à ta place.

    La réussite de ton chemin ne dépend pas de lui.
    Elle dépend de toi, de ta présence, de ta capacité à t’impliquer, à entendre, à ressentir, à transformer, à t’assumer.


    Le non-choix est aussi un choix

    Éviter de choisir, rester dans le flou, repousser, attendre… c’est déjà une direction.

    Un choix guidé par la peur.
    Un choix qui évite l’inconfort.
    Un choix qui maintient l’ancien.

    Prendre ses responsabilités, c’est sortir de cette ambiguïté.
    C’est assumer ses décisions, ses actions, ses renoncements.


    Responsabilité : la porte étroite qui mène à la liberté

    Nous vivons dans un système qui nous a coupés de la responsabilité, qui nous conditionne à dépendre de l’extérieur, à déléguer notre pouvoir, à oublier ce que nous portons en nous.

    Retrouver la responsabilité, c’est sortir de cette matrice.

    C’est cesser de fuir.
    Cesser de se victimiser.
    Cesser de tout remettre sur l’extérieur.
    Cesser de se cacher derrière les anciennes identités.


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    27 分
  • Sortir des cases de la spiritualité : revenir à la simplicité, revenir à soi
    2025/11/27

    Quand la spiritualité devient une fuite de soi

    Certaines personnes entrent dans la spiritualité avec le désir sincère de mieux se connaître. Mais pour d’autres, la quête subtile devient un espace où l’on peut éviter de se regarder en face.

    C’est plus fréquent qu’on ne le croit.

    On se réfugie dans l’invisible.
    On cherche des explications dans les vies antérieures.
    On invoque les lignées, la mémoire, les ancêtres…


    La spiritualité de surface : la quête qui ne transforme rien

    Nous vivons dans une société qui adore la facilité : rapide, beau, efficace, sans douleur.
    Et ce biais a contaminé la spiritualité.

    Rituels “miracles”, manifestations instantanées, symboles à la chaîne, connexions pluri-énergétiques toutes les cinq minutes…
    Mais sans jamais aller regarder les blessures qui, elles, dictent encore tout ton rapport au monde.


    La vérité, c’est que la transformation demande de l’honnêteté.
    De la profondeur. Du courage. Et une vraie volonté de te rencontrer.


    Sortir des cases : la spiritualité n’est pas un nouveau moule

    Beaucoup arrivent à la spiritualité parce qu’ils ne trouvent pas leur place dans la société.
    Ils cherchent un espace où respirer enfin.

    Mais sans s’en rendre compte, ils entrent dans une nouvelle case.

    Dogmes, injonctions, codes implicites, “bonne manière de faire”…
    Même dans la spiritualité, il y a des guerres d’ego et de légitimités.

    Or, tu es beaucoup trop vaste, beaucoup trop complexe, beaucoup trop unique pour te laisser enfermer dans une boîte — même une boîte dorée.

    Ton âme n’est pas faite pour suivre un modèle.
    Elle est faite pour créer sa propre voie.


    Parce que chaque chemin spirituel est singulier.
    Et tous mènent au même endroit : l’unité.


    Vouloir développer ses “clairsens” sans écouter son corps : une illusion fréquente

    Dans la spiritualité moderne, la clairvoyance et la clairaudience sont mises sur un piédestal.
    Comme si percevoir l’invisible était une preuve de “niveau spirituel”.

    Mais comment veux-tu ouvrir tes perceptions subtiles si tu n’habites même pas ton corps ?
    Tu veux ressentir l’invisible ?
    Commence par ressentir ton corps.


    Revenir à la simplicité : la spiritualité incarnée
    Elle n’a pas besoin de mille rituels, mille outils, mille informations.
    Elle ne cherche pas à impressionner.

    Elle demande simplement :

    • d’être vrai avec toi

    • de revenir au corps

    • de revenir au cœur

    • d’ancrer le divin dans la matière

    • d’assumer tes parts, tes peurs et tes élans

    • et de prendre ta responsabilité intérieure



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    27 分
  • La Spiritualité dans notre société : retrouver l’Unité & sortir de la division
    2025/11/26

    Notre société ne nous apprend plus à regarder à l’intérieur

    On grandit sans apprendre à sentir ce qui se passe en nous.
    On ne nous enseigne pas à écouter nos émotions, à reconnaître nos parts internes, à observer calmement nos réactions.
    La norme : faire, s’activer, remplir, s’agiter.

    Et cette fuite permanente crée une première fracture : celle qui t’éloigne de toi-même.

    Quand tu ne sais plus reconnaître ce qui est juste ou non, tu perds ton discernement. Tu te laisses porter par les attentes, les conditionnements, les peurs. Tu finis par exister pour répondre au monde extérieur… plutôt que vibrer à partir de ton cœur.


    En se coupant de soi, on se coupe aussi du subtil

    Le subtil, ce n’est pas mystique :
    c’est ton ressenti, ton intuition, tes pensées, tes schémas, l’élan de ton cœur, les messages de ton corps.

    Quand tu ne prends plus le temps de te poser, tu deviens étranger à ton propre langage intérieur.
    Et si tu es coupé de ce subtil-là, tu te coupes aussi du reste :
    – de ton âme,
    – du Vivant,
    – du Divin,
    – de ton pouvoir créateur.


    L’écoute véritable est une intelligence que nous avons désapprise

    On ne sait plus s’écouter.
    Et comme on ne sait plus s’écouter, on ne sait plus écouter les autres.

    On écoute pour répondre.

    Cela crée une deuxième grande fracture : celle qui nous sépare les uns des autres.

    Les échanges deviennent des terrains de projections. L’autre n’est plus entendu, il devient l’écran sur lequel on déverse nos peurs, nos blessures, nos besoins de contrôle.

    S’ouvrir véritablement demande de l’humilité.


    Une humanité fragmentée est plus facile à contrôler

    Cela peut paraître dur, mais c’est pourtant simple :
    un être connecté à son cœur, à son âme et à Dieu est illimité.

    Depuis des millénaires, tout a été fait pour diviser.
    Diviser les humains entre eux.
    Diviser les religions.
    Diviser les croyances.
    Diviser les peuples.

    Plus un humain est divisé, plus il est manipulable.
    Plus il doute de lui, plus il cherche des repères à l’extérieur.
    Plus il est coupé du sacré, plus il perd le sens.


    Pourquoi la quête de soi dérange autant

    La quête intérieure t’amène naturellement vers ton essence.
    Vers ton cœur.
    Vers la vérité.
    Vers Dieu.

    C’est pour cela que ceux qui sortent du moule sont toujours regardés avec suspicion :
    – perchés,
    – trop sensibles,
    – complotistes,

    En réalité, ils ont simplement choisi la porte étroite dont parlait Jésus.
    Celle qui mène à la vie.
    Celle qui te demande de sortir du troupeau,
    de quitter l’hypnose collective
    d’oser être différent.


    Retrouver le sacré, c’est retrouver le sens

    Sans cela, la vie devient mécanique.

    Mais en cherchant à renouer avec la spiritualité, beaucoup retombent dans des cases, des dogmes, de nouvelles étiquettes. Même la spiritualité peut diviser.
    Et c’est un piège.


    Le retour à l’unité commence par toi

    Choisir l’unité, c’est choisir la vie

    Ce n’est pas un chemin facile.
    Il demande :
    – de ralentir,
    – de t’observer,
    – d’affronter tes peurs,
    – de quitter les cases,
    – de dire la vérité,
    – d’assumer ta vibration,
    – de passer de la survie… à la vie.

    Mais c’est un chemin juste.
    Un chemin vivant.
    Un chemin rempli de grâce, de soutien, de rencontres incroyables, visibles et invisibles.

    Et surtout, un chemin où tu ne seras plus jamais seule.


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    32 分
  • Colère, injustice, tristesse : 5 étapes pour revenir à soi.
    2025/11/25

    Quand une émotion te prend de plein fouet — colère, injustice, tristesse, choc — ton système intérieur s’active.
    Ce protocole te permet de traverser ces moments avec clarté, responsabilité et alignement, sans te laisser aspirer par l’ancien paradigme (réactions, ego, rumination).


    Laisser passer l’émotion

    Une émotion est un mouvement d’énergie. La bloquer crée de la somatisation, de la rumination et de la souffrance inutile.

    Comment faire ?

    • Respire et laisse ton corps réagir sans te censurer.

    • Reconnais ce que tu ressens : colère, sidération, tristesse, injustice…

    • Ne cherche ni à minimiser ni à rationaliser.

    • Laisse la vague passer : elle n’est pas dangereuse, elle est libératrice.

    Rappel essentiel :
    Avoir mal n’est pas souffrir. La douleur est inévitable. La souffrance est un choix (rumination, auto-flagellation, victimisation).


    Comprendre quelle part de toi réagit
    Identifier la part de toi qui a été touchée pour comprendre le vrai message derrière l’émotion.

    Questions à te poser :

    • Quelle part en moi réagit ?

    • Qu’est-ce que cette situation réveille ?

    • À quoi cette émotion est-elle reliée ?

    • Est-ce que je suis en train de projeter ?
      Ou de porter les projections de l’autre ?

    But :
    Sortir de la souffrance en donnant un espace à la part blessée. L’écouter, la rassurer, la comprendre.

    Responsabilité :
    Tu ne choisis pas ce qui arrive, mais tu choisis ce que tu fais de ce que ça réveille.


    Méditer pour calmer le mental

    La méditation sert à :

    • apaiser les scénarios catastrophes,

    • revenir dans le présent,

    • sortir des projections de l’autre,

    • ne plus confondre “ce qu’on dit de toi” avec “qui tu es réellement”.

    Conseils :

    • Assieds-toi, respire, reviens dans ton corps.

    • Observe les pensées sans t’y attacher.

    • Répète intérieurement : “Je reviens au présent.”

    • Laisse tomber le passé. Le futur n’existe pas encore.

    La méditation remet ton mental dans la bonne réalité : la tienne.
    Pas celle de l’illusion, du jugement ou de la peur.


    Prier pour se réaligner au divin

    La prière est l’espace où tu te reconnectes :

    • à ton âme,

    • à ta lumière,

    • à ta vérité,

    • à Dieu,

    Intention :
    Ouvrir un espace où l’ego se calme et où la paix reprend sa place.

    Tu peux demander :

    • clarté,

    • apaisement,

    • alignement,

    • discernement.
      Tu reviens à ta fréquence originelle, au-delà des projections du monde extérieur.


    Trouver l’enseignement

    Une fois apaisée, demande-toi :

    Qu’est-ce que cette situation m’apprend ?

    Cela peut être :

    • une limite à poser,

    • une part blessée à guérir,

    • une croyance à lâcher,

    • une illusion à dissoudre,

    • une responsabilité à reprendre,

    • un vieux schéma auquel tu ne veux plus participer,

    • un alignement à renforcer,

    • une vérité intérieure à assumer encore plus fort.

    • “Qu’est-ce que ça révèle en moi, et qu’est-ce que ça renforce ?”



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    44 分
  • Pourquoi je refuse les divisions spirituelles ?
    2025/11/20

    Nous vivons une époque où la soif de sacré ressurgit. Une époque où beaucoup cherchent des réponses, un sens, un chemin. Certains se tournent vers le développement personnel, d’autres vers le chamanisme, la sorcellerie, les religions, l’énergétique ou les textes sacrés.


    Mon histoire : de la quête de sens à l’évidence de l’Unité

    J’ai mis les pieds dans la spiritualité parce que la vie m’y a poussée. Une dépression, une perte de sens. Comme beaucoup, j’ai commencé par ce qui était accessible : Reiki, énergétique, astrologie, ayurveda, anges, archanges, chakras, passages d’âmes…

    Ce n’était pas pour “faire la mode” ou adopter une identité toute faite, mais pour retrouver un sens que je ne trouvais ni dans la religion dans laquelle j’avais été élevée, ni dans la vision matérialiste du monde.


    Une spiritualité qui relie plutôt qu’elle ne sépare

    Lorsque tu étudies vraiment les traditions, les mythes, les enseignements, tu vois apparaître des ponts partout.

    Quand tu observes tout ça avec un cœur ouvert, tu ne peux que voir l’évidence :
    il n’existe pas “plein de vérités différentes”, il existe plusieurs chemins vers la même Source.

    La division n’est qu’une illusion.
    Une illusion commode, qui sert les pouvoirs, les peurs, les egos, mais jamais le Divin.


    Initiation : une école du vivant pour réunifier les chemins

    Cette vision est au cœur d’Initiation. C’est une école du vivant.
    Un espace où toutes les voies sont explorées non pour s’enfermer dans une case, mais pour retrouver la vérité première :
    l’unité.

    Parce qu’Initiation n’est pas là pour t’enseigner MA voie, mais pour t’aider à retrouver la tienne.


    Pourquoi ce positionnement est si important aujourd’hui

    Je vois beaucoup de personnes blessées par la religion.
    Des personnes qui ont perdu confiance dans leur relation à Dieu.
    D’autres qui ont été déçues par des milieux spirituels trop dogmatiques.
    D’autres encore qui sont attirées par la magie et l’énergétique mais qui cherchent du concret, des explications cohérentes, un socle solide.

    Initiation répond à tout cela, parce que :

    • tu explores toutes les voies

    • tu reconnectes à ta propre foi

    • tu ne te laisses enfermer dans aucune étiquette

    • tu comprends enfin le lien entre les traditions, les énergies, les textes, les planètes

    • tu développes ton rapport au subtil de façon ancrée, incarnée, cohérente

    • tu retrouves la liberté de croire, de ressentir, d’expérimenter


    Et surtout :

    Parce qu’au fond, c’est le message central de toute voie spirituelle vraie.
    Qu’elle soit religieuse, magique, chamanique ou énergétique.

    La division est un piège.
    On nous a appris à choisir un camp.
    À se méfier de ce qui est “autre”.


    Initiation te donne accès :

    • à une compréhension globale des spiritualités du monde

    • à des enseignements ancrés, cohérents, incarnés

    • à des ponts entre les traditions

    • à un développement réel de tes sens subtils

    • à une relation personnelle au divin

    • à la possibilité de créer ta propre pratique


    Je crois profondément que le grand défi de notre époque, c’est d’arrêter de nourrir la séparation.

    Mais quand tu regardes vraiment, tu vois que tout converge.
    Que tous les chemins ramènent au centre.
    Et que le centre, c’est l’Amour.

    Et c’est exactement ce à quoi Initiation t’invite :
    retrouver ta foi, retrouver l’unité, retrouver l’Amour.


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    24 分
  • Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières
    2025/11/18

    L’histoire est remplie de figures dont la liberté dérangeait, dont la souveraineté éclairait trop fort, dont la connexion au divin — intérieure, directe, indomptée — devenait une menace pour les structures établies.


    À travers les siècles, trois figures féminines se répondent, trois femmes issues de cultures différentes, trois femmes que l’histoire a tenté de gommer pour la même raison : leur puissance ne rentrait pas dans les cadres.


    Hatshepsout : la pharaonne

    En Égypte, Hatshepsout a brisé l’ordre établi en s’emparant du rôle de pharaon. Elle a gouverné avec une intelligence visionnaire, apportant paix, prospérité, structures sacrées et stabilité. Après sa mort, on a effacé son nom, martelé ses statues, tenté de la faire disparaître comme si elle n’avait jamais existé.


    Marie-Madeleine : l’apôtre effacée
    On efface son nom, on détruit ses textes, on réécrit son rôle
    Parce qu’admettre son lien privilégié avec le Christ, sa sagesse, sa place dans la transmission sacrée, revenait à reconnaître qu’une femme pouvait être dépositaire d’un enseignement divin.


    Les sorcières : la liberté criminalisée
    Des femmes libres, guérisseuses, sages, incarnées, vivant loin de l’autorité et proches de la nature.
    Elles connaissaient les plantes, le corps, les cycles, le mystère.
    Elles représentaient une autonomie insupportable pour un système basé sur le contrôle.


    Le point commun entre toutes ces femmes ?

    Elles étaient libres.
    Libres dans leur façon de marcher vers Dieu, vers le vivant, vers leur âme.

    Et cela, à travers les âges, a toujours été perçu comme dangereux.


    Hérétique : un mot à réhabiliter

    Le mot « hérétique » signifie, à l’origine : celui qui choisit.

    Être hérétique, c’est refuser d’avaler les croyances toutes faites.
    C’est refuser d’être divisé, séparé, limité.
    C’est choisir sa voie, même si elle ne ressemble à aucune autre.

    Tout mène au même endroit : Dieu, le Vivant, l’Amour

    Quand on regarde les textes sacrés — égyptiens, hindous, païens, monothéistes — le message de fond est identique :
    honorer le vivant, vivre en équilibre, marcher dans l’amour.


    Tout cela mène au même lieu :
    la rencontre avec toi-même, et à travers toi, avec le divin.

    Il est temps d’arrêter de nous laisser diviser.
    Il est temps d’arrêter de croire que la vérité est unique et fermée.


    Créer sa voie spirituelle : l’appel de l’âme
    Nous sommes venus pour créer notre propre relation au sacré.

    Une voie en accord avec ton âme.
    Une voie en accord avec le vivant.
    Une voie reliée à la grande sagesse universelle : l’amour, l’unité, l’harmonie.

    Redevenir souverain. Redevenir vivant. Redevenir libre.

    En osant penser par toi-même.
    En osant sortir des cases.
    En osant écouter ce que ton cœur sait déjà.


    Hatshepsout, Marie-Madeleine, les sorcières…
    Elles nous montrent une chose :
    lorsqu’on assume qui on est, lorsqu’on incarne sa vérité, lorsqu’on marche avec Dieu à l’intérieur,
    on devient impossible à effacer.


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    27 分
  • Quand l’invisible se révèle : mes expériences et manifestations
    2025/11/13

    Aujourd’hui, j’avais envie de te raconter ces instants qui ont façonné ma relation à l’invisible : les anges, les archanges, les énergies christiques, les esprits animaux, les dimensions galactiques… et cette présence immense que certains appellent Dieu, d’autres la Source.


    Quand j’ai commencé mon apprentissage énergétique, j’étais très entourée des archanges. Je priais, je faisais des neuvaines, j’ouvrais la porte de chez moi en les nommant un par un… et l’atmosphère de mon appartement changeait instantanément.

    Le jour où j’ai vu ce faisceau lumineux bleu-violet dans mon cellier, j’ai su. Je reconnaissais cette fréquence : Michael.


    Lors de ma formation en chamanisme, j’ai vécu une expérience moins douce : une tentative d’imitation par le bas astral.
    Des énergies qui se faisaient passer pour des maîtres ascensionnés.
    Ça ne tient jamais longtemps. La fréquence baisse, l’illusion se fissure, les réponses deviennent incohérentes.


    En pleine relation toxique, j’ai reçu plusieurs semaines de silence… jusqu’à ce fameux appel.
    Et j’entends clairement : “Décroche.”
    Et c’est là que j’ai vu en pleine lumière l’emprise, la manipulation, la vacuité du lien.
    C’est ce jour-là que j’ai mis un terme définitif à cette histoire.


    Depuis que nous vivons à la lisière de la forêt, ma connexion aux animaux s’est intensifiée.
    Pas aux animaux domestiques : aux âmes des bêtes sauvages.

    Sangliers, renards, chevreuils…
    Certains meurent accidentés, certains quittent leur corps trop vite.
    Et leurs âmes viennent chercher le passage.


    J’ai ressenti la grâce divine dans plusieurs lieux sacrés :
    des petites églises de village, le Sacré-Cœur, Lourdes, des chapelles italiennes…


    Pendant un massage, j'ai même vécu une scène intérieure de crucifixion :
    ma cage thoracique s’est soulevée, mes bras se sont ouverts, mon cœur transpercé par une énergie qui n’avait rien de douloureux — seulement de l’amour inconditionnel.

    J’ai pleuré longtemps. Pas de tristesse. De reconnexion.

    Un autre jour, j’ai vécu ce que j’appelle un orgasme de grâce :
    une montée vibratoire si pure, si intense, qu’aucun mot ne peut la décrire sans la trahir.


    Quand je suis en soin, plusieurs dialectes se manifestent à travers moi :

    • langage chamanique, tellurique, tribal

    • langage galactique, cristallin, stellaire

    • langage de l’âme, pure vibration d’amour


    Je suis profondément touchée par la beauté — pas celle qui se voit, mais celle qui se vit.

    Chaque fois, je ressens la même chose :
    une manifestation du divin, ici, dans la chair, dans la matière.

    La beauté du Vivant, dans sa forme la plus pure.

    Quand le divin traverse le corps : cacao, danse, méditations et états de conscience


    En méditation transcendantale, en Kundalini, j’ai déjà ressenti cette sensation étrange d’être minuscule et infiniment vaste à la fois.

    Ce que ces expériences m’ont appris

    Que les mondes sont multiples.
    Que le divin prend mille formes.
    Que la guidance est toujours là pour qui veut l’entendre.
    Que la grâce existe — et qu’elle te traverse quand tu t’ouvres profondément.

    Et surtout :
    que rien n’est cloisonné.
    Tout se rejoint.
    Tout vient du même endroit.


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