Le premier épisode nous fait découvrir l’enfance de ces jeunes, insouciante et heureuse et qui s’assombrit lorsqu’ils arrivent à l’école. C’est au contact de leurs camarades qu’ils se découvrent différents. Ils réalisent que leur visage n’entre pas dans la norme.

Dès la primaire, Clémence connait les insultes "bec de lièvre", "handicapée". À la récréation ses camarades lui demandent de jouer des rôles d’animaux.

Une prise de conscience difficile pour chacun des ados.

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Le second épisode raconte la discrimination dont ils sont victimes. Au collège et au lycée, ils font l’objet de moqueries et sont parfois harcelés jusque sur les réseaux sociaux.

Ces ados se renferment. Allya a dû changer d’établissement. Ses harceleurs ont fait des vidéos sur les réseaux sociaux pour imiter son visage.

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L’épisode 3 nous plonge dans leur quotidien et leurs stratégies pour affronter le regard de leurs camarades ou au contraire leurs rituels pour se rendre invisible.

Le Covid leur offre un peu de répit. Certain ont beaucoup de mal à quitter leur masque même à la cantine. Clémence s’enferme dans les toilettes du lycée pendant la récréation pour trouver refuge. Lueur d’espoir, Thomas décide de performer dans tout ce qu’il fait pour se faire accepter. Romane a le courage de prendre la parole devant toute sa classe et qualifie ce jour-là de renaissance.

Romane a une place particulière dans cet épisode, car d’une certaine façon elle nous met en situation réelle, elle a des difficultés d’élocution. Sommes-nous capables d’accepter la différence et faire ce petit effort nécessaire pour la comprendre ?

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