Pourquoi le piano plutôt que le violon ou l’accordéon ? La musique est-elle un artisanat ? Pourquoi jazzy est-il un mot interdit ? Et jusqu’où peut-on aller sans péter plus haut que son postérieur ?

Dans ce quatrième épisode, Maxime Verner reçoit le brillant pianiste Baptiste Trotignon pour évoquer avec lui son impressionnante carrière, son éclectisme et ses innombrables projets musicaux. Il nous a confié sa nécessité amoureuse de faire du son et nous expliqué en quoi la musique a été pour lui un refuge. On a parlé du film Le Nouveau Monde d’Alain Corneau, de Massacre à la tronçonneuse. Mais aussi de Wynton Kelly, de Bud Powell et du be-bop. On a écouté Erroll Garner le grognard et Baptiste nous a fait découvrir un pianiste méconnu du grand public. On a aussi parlé des copains Pierre de Bethmann, Bojan Z et Éric Legnini qui partagent le PianoForte à 8 mains avec Baptiste. Sans oublier Arthur Teboul de Feu! Chatterton, le producteur Jean-Philippe Allard, le parolier Jean Fauque, Melody Gardot, Miossec ou encore Maxime Le Forestier, mais pas que…

Animation : Maxime Verner

Invités : Baptiste Trotignon

Chronique album : Erroll Garner – Dancing On the Celling – The Erroll Garner collection vol.2 par Jérémy Goubet

Chronique artiste : Lennie Tristano par Gaël Cordaro

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De quoi les musiciens ont-ils besoin ? Peut-on être séduisant en restant intègre ? Faut-il avoir envie de plaire ? Qu’est-ce que le bounce ? Est-on obligé d’aimer tout le monde ?

Dans ce chapitre un peu particulier, Maxime Vener a laissé converser deux vieux amis. L’illustre batteur Aldo Romano a retrouvé Baptiste : ce type avec qui il voulait jouer dès qu’il l’a entendu. Avec qui il a joué. Ensemble, ils ont évoqué leur rencontre, le Blend qui, entre eux se faisait mieux qu’ailleurs. Ils ont parlé d’ésotérisme, du sens du silence, de séduction, de danse et d’onanisme. Ils ont évoqué Miroslav Vitous, Steve Kuhn et Hampton Hawes. Mais aussi Chet Baker, Keith Jarrett ou bien Miles Davis, le prince des ténèbres. On a appris que le jazz n’est pas une musique mais une façon de jouer la musique et que la meilleure façon de jouer de la musique c’est d’abord de se taire…

Animation : Maxime Verner

Invités : Baptiste Trotignon et Aldo Romano

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Comment devient-on préparateur de piano ? Faut-il élever un piano comme un enfant ? Comment débloquer un pianiste avec un bon instrument ? L’énergie provient-elle du trou du c… ?

Il n’y a pas que les pianistes qui connaissent bien les pianos. Pour en parler, Baptiste Trotignon a invité le grand préparateur de piano Bastien Herbin. Celui qui a pour mission d’assurer la jonction entre la technique et l’émotion, de créer le lien entre le musicien et l’instrument. Avec Maxime ils ont parlé d’amour frénétique du son, de fréquence, de vibration, d’harmonisation et d’émotion. Mais aussi de pianos débridés et généreux, de mains de pianistes et de l’énergie du doigt qui forge l’instrument. Ils ont aussi parlé du parc de piano en France, de Steinway, de Yamaha, Pleyel ou encore Fazioli. Mais aussi de Frédéric Tassart, de Stephen Paulello et de Madonna (???), ceux qui, comme Bastien, travaillent à sublimer des pianos consentants, mais pas que…

Animation : Maxime Verner

Invités : Baptiste Trotignon & Bastien Herbin

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Pourquoi le B ? Pourquoi la guitare ? Hugo Lippi est-il une encyclopédie du jazz ? Les musiciens sont-ils toujours insatisfaits ? Faut-il être debout pour jouer du jazz ? Pourquoi faut-il continuer de rencontrer des gens ? Les églises sont-elles des salles d’attente ?

Dans ce troisième épisode, Maxime Verner reçoit le guitariste Hugo Lippi pour évoquer sa carrière, ses débuts, sa guitare plus fine, son Prix Django Reinhardt et ses goûts musicaux éclectiques. On a aussi parlé du Petit Opportun, de la rue des Lombard, du Havre et des étiquettes à la française. On a convoqué l’Angleterre, on l’a écoutée aussi… On a parlé de Alain Jean-Marie, de Kenny Barron, de jazz fusion, du son des années 1970, de photos polaroid un peu orange, du Studio CBE, du label CTI, de George Benson et Chick Corea. On a aussi parlé de Pink Floyd, de Dire Straits, de Clapton et Eddie Van Halen, de Bach, Brighton et Sacha Guitry, mais pas que…

Animation : Maxime Verner

Invité : Hugo Lippi

Chronique album : Bad Benson de George Benson par Jérémy Goubet

Chronique artiste : Ted Greene par Gael Cordaro

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C’est quoi un Celliste ? Les musiciens de jazz jouent-ils n’importe quoi ? Pourquoi Rostropovitch n’aimait-il pas qu’on lui dise non ? Les musiciens classiques sont-ils trop dogmatiques ? Peut-on apprendre à improviser ? Faut-il peser les notes ?

Hugo Lippi et Maxime Verner reçoivent Xavier Phillips, un des plus grands Violoncellistes français. Ensemble, ils ont parlé de fils de profs, « d’Arméniens comme moi », de chantage à la révérence, d’un très beau violoncelle de 1710. Xavier a joué une sérénade de Benjamin Britten. On a évoqué le chant des oiseaux et de la filière normande. On a parlé de jazz sauvage et civilisé, de pierres précieuses et d’un grand père inspirant. Mais aussi de l’oralité du jazz, de Duke Ellington, de Ravel, Debussy ou encore Schumann. Mais aussi de Khatchatourian, de Tigran Hamasyan, de Komitas, mais pas que…

Animation : Maxime Verner

Invités : Hugo Lippi & Xavier Phillips

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Pourquoi la trompette est-elle un instrument méchant ? Existe-t-il des concertos jazzy ? Comment ne pas avoir de rappel à la fin d’un concert ? Comment se sent on assez légitime pour composer ?

Hugo Lippi et Maxime Verner ont échangé avec la jeune et brillante trompettiste Lucienne Renaudin Vary, récompensée par une Victoire de la musique en 2016. Ensemble, ils ont revisité le concerto d’Aranjuez. Ils ont parlé des tubes de la trompette classique, du chapiteau de Marciac, d’un guitariste bienveillant, de complicité musicale, de transmission et de partage. On a aussi parlé de Harry James, de Django Reinhardt, de Wynton Marsalis, de Alain Jean-Marie, de Chet Baker et Amy Winehouse, mais pas que…

Animation : Maxime Verner

Invités : Hugo Lippi & Lucienne Renaudin Vary

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Faut-il faire la musique qu’on a dans le ventre ? Pourquoi s’exiler aux Etats-Unis ? Peut-on jouer devant ses idoles sans pleurer ?

Hugo Lippi et Maxime Verner ont reçu Ludovic Louis, le plus américain des trompettistes français. Mais surtout un copain d’enfance de Hugo Lippi. Ensemble, ils ont tapé un petit bœuf comme au bon vieux temps. Ils ont parlé du gang des Havrais, de familles de musiciens, de Jazz 6 en VHS de concerts festifs et surprenants, de photos dossiers auxquelles on a échappé. Ils ont aussi parlé de Damien Chazelle, de Quincy Jones, de Mohamed Ali, de Lenny Kravitz, Snoop Dog et Richard Bona. On a aussi assisté à l’autopsie d’une pochette d’album, mais pas que…

Animation : Maxime Verner

Invités : Hugo Lippi & Ludovic Louis

Chronique : Autopsie d’une pochette par Delphine Askienazy

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Pourquoi le bugle ? Que font deux prix Django Reinhardt quand ils se croisent derrière un micro ? Pourquoi porter des sandales sous la neige ? Les jazzmen sont-ils toujours en vacances ?

Dans ce deuxième épisode, Maxime Verner reçoit le trompettiste Stéphane Belmondo pour évoquer sa carrière, sa curiosité, son amitié avec Chet Baker. Par chance, le brillant guitariste Hugo Lippi qui passait par là a sorti sa six cordes pour la mêler au bugle de Stéphane dans un hommage frissonnant à Philippe sarde. On a parlé de Gil Evans, de Sylvain Luc, de Yusef Lateef le prophète. Mais aussi de voyages en Afrique, de Dee Dee Bridgewater, des gants de boxe de Coluche, du tourneur de Claude François, de Stevie Wonder, de Ravel, de Lili Boulanger ou encore de James Brown. Sans oublier Eddy Louis, le frangin Lionel Belmondo et l’ami d’enfance Michel Petrucciani. Puis on a fini par laisser traîner un micro dans la rue pour papoter sur le chemin du deuxième chapitre chez Liliane Rovère…

Animation : Maxime Verner

Invités : Stéphane Belmondo, Hugo Lippi

Chronique album : Bil Evans Trio With Symphony Orchestra par Jérémy Goubet

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