エピソード

  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-16
    2025/09/16
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : Google intensifie sa lutte anti-spam et ajuste son “mode IA”, gros changements dans Google Ads et Search Console, hallucinations des modèles et nouvelles pistes d’évaluation, auto-prompting en progrès, mise en garde du monde académique, invasion des podcasts générés, et montée des deepfakes. Et un rappel pratique sur la mise à jour de votre navigateur.D’abord, un point d’usage: certains sites signalent que votre navigateur peut afficher des pages de manière dégradée. Mettre à jour vers la dernière version améliore sécurité, performance et compatibilité avec les sites modernes. Des liens utiles sont disponibles sur browsehappy.com. Sans mise à jour, attendez-vous à des fonctionnalités limitées.Côté Google, la mise à jour anti-spam d’août 2025 se poursuit et s’intensifie. En parallèle, une polémique a éclaté après l’affirmation selon laquelle “le web est en déclin rapide”. Autre chantier: le “mode IA” de la recherche. Annoncé comme futur mode par défaut, Google a nuancé cette position. Le mode IA s’étend au-delà de l’anglais au hindi, à l’indonésien, au japonais, au coréen et au portugais, et apparaît désormais jusque dans les suggestions de saisie automatique.Google a actualisé ses directives pour les évaluateurs de la qualité de la recherche, en ajoutant une vue d’ensemble de l’IA et des définitions affinées pour les contenus YMYL, ces sujets pouvant impacter santé, sécurité ou finances. Dans Search Console, six types de données structurées obsolètes ne sont plus pris en charge.Publicité: Google Ads déploie AI Max pour les campagnes de recherche à l’échelle mondiale. Au menu, de nouvelles fonctionnalités, des mises à jour du Merchant Center et des améliorations de l’Asset Studio AI. Des tests portent sur un mode promotionnel, des budgets totaux de campagne et d’autres options. Les nouvelles métriques AI Max incluent des correspondances élargies et des pages de destination étendues. Google renforce aussi le lien site–application pour un meilleur reporting. Côté SERP, des annonces sponsorisées avec raffinement de recherche sont testées, des alternatives à “Les gens recherchent aussi” sont explorées, et Google envisage de remplacer les étoiles d’avis d’hôtels par le numéro de téléphone et l’URL de l’établissement.Un rapport indique que presque tous les utilisateurs de ChatGPT utilisent également Google, mais l’inverse n’est pas vrai. Dans le même temps, l’Union européenne inflige 3,5 milliards de dollars d’amende et demande à Google de se séparer d’une partie de son activité technologique publicitaire.Passons aux modèles de langage. OpenAI rappelle que les “hallucinations” persistent: les modèles préfèrent deviner plutôt qu’admettre une incertitude, car les systèmes de notation valorisent la réponse même approximative. L’analogie du QCM est parlante: deviner peut rapporter, s’abstenir jamais. S’y ajoute la mécanique de prédiction du mot suivant sans vérification factuelle, surtout pour les faits rares. Même des modèles récents comme GPT-5 en produisent, moins souvent toutefois. OpenAI recommande d’ajuster les évaluations: pénaliser davantage les réponses fausses et accorder une note partielle aux réponses prudentes. Les tests montrent que s’abstenir quand on doute réduit les erreurs sans dégrader la précision globale.Autre tendance: les modèles sont de plus en plus compétents pour rédiger des invites, y compris pour eux-mêmes. Les familles Claude 4 et GPT-5, avec des dates de coupure d’entraînement récentes, auraient été exposées à plus de bons exemples, et Anthropic mobilise des sous-agents dans Claude Code, comme décrit dans une publication. Des retours de terrain font état de progrès tangibles en auto-prompting.Sur le front académique, un collectif de scientifiques cognitifs et de chercheurs en IA publie le 5 septembre un article de position appelant à refuser l’adoption non critique des outils d’IA dans les universités. Signataires venant des Pays-Bas, du Danemark, d’Allemagne et des États-Unis. Olivia Guest souligne l’urgence en ce début d’année universitaire et des signes de “déchargement cognitif” chez les étudiants. Le texte prolonge une lettre ouverte néerlandaise signée par plus de 1 100 universitaires, invitant notamment à reconsidérer les relations financières avec les entreprises d’IA. Les auteurs comparent ces déploiements à d’anciennes adoptions non critiques — tabac, moteurs à combustion, puis réseaux sociaux — et appellent à préserver enseignement supérieur, pensée critique, expertise, liberté académique et intégrité scientifique.Dans l’audio, lancement officiel d’Inception Point: un réseau de podcasts générés par IA. Sa PDG, Jeanine...
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  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-15
    2025/09/15
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : débat sur la création à l’ère de l’IA, agents d’entreprise chez Adobe, consolidation dans les plateformes d’agents, et transparence des usages en recherche.On commence par une tribune qui fait écho à un sentiment répandu : l’IA serait moins créatrice que remixeuse. L’auteur décrit une technologie qui, plutôt que d’inventer, réarrange des contenus existants, avec pour effet une uniformisation des œuvres — une “soupe artistique tiédasse”, dit-il. Il pointe des emplois déjà remplacés dans la rédaction simple ou la musique d’illustration, et regrette que cette évolution soit saluée comme un progrès. En contrepoint, il appelle à réinvestir des projets artistiques audacieux et singuliers, citant Outer Wilds, Twin Peaks ou The Fountain comme repères d’œuvres qui prennent des risques et marquent durablement. Son espoir, malgré un ton pessimiste, est une demande renouvelée pour l’art porté par des émotions et une intention humaines.Cap maintenant sur l’entreprise, avec Adobe qui ouvre en disponibilité générale ses agents d’IA conçus pour transformer la construction, la livraison et l’optimisation des expériences client et des campagnes marketing. Au cœur du dispositif, la plateforme Adobe Experience Platform (AEP) et son Agent Orchestrator. Objectif: orchestrer des agents Adobe et tiers, interpréter l’intention exprimée en langage naturel, planifier des actions en plusieurs étapes, et affiner les réponses. Adobe parle d’un moteur de raisonnement mêlant science de la décision et modèles de langage, pour un raisonnement dynamique et adaptatif. L’AEP, déjà utilisée par de grandes entreprises pour connecter des données en temps réel, sert de base pour des actions contextuelles orientées objectifs, avec une boucle “human-in-the-loop” pour le contrôle et le raffinement. Plus de 70 % des clients AEP utiliseraient l’assistant IA d’Adobe, interface conversationnelle des équipes avec ces agents. Des marques comme The Hershey Company, Lenovo, Merkle, Wegmans Food Markets et Wilson Company collaborent déjà autour de ces offres. Côté produits, des agents prêts à l’emploi arrivent directement dans Adobe Real-Time Customer Data Platform, Adobe Experience Manager, Adobe Journey Optimizer et Adobe Customer Journey Analytics. Bientôt, l’Experience Platform Agent Composer proposera une interface unique pour configurer les agents selon les directives de marque et les politiques internes, afin de réduire le temps de mise en valeur. Des outils développeurs — SDK d’agent et registre d’agent — permettront de construire, étendre et orchestrer des applications agentiques pour de nouveaux secteurs et profils d’utilisateurs. Pour l’interopérabilité, l’Agent Composer mise sur la collaboration multi-agents via le protocole Agent2Agent. Adobe annonce aussi des partenariats avec Cognizant, Google Cloud, Havas, Medallia, Omnicom, PwC et VML pour fluidifier les flux de travail et adapter les usages par industrie.Dans le même sillage agentique, RevRag.AI rachète GenStaq.ai, une jeune pousse fondée en 2024 et spécialisée en orchestration de flux et opérations LLM à grande échelle. L’objectif affiché: renforcer le contrôle de l’infrastructure et accélérer des agents d’IA “enterprise-grade”, du niveau applicatif jusqu’à l’infrastructure. GenStaq apporte une plateforme LLMOps modulaire avec pipelines RAG, API basées sur des sessions et infrastructure vectorielle, pensée pour les développeurs et prête pour la production. RevRag, déjà client de GenStaq, met en avant la complémentarité: maîtrise de la distribution et de la stratégie go-to-market d’un côté, socle d’infrastructure de l’autre. L’équipe fondatrice de GenStaq rejoint la direction produit et ingénierie, avec une feuille de route axée sur l’élargissement des partenariats, l’avancement des flux de travail agentiques et la consolidation de la position de RevRag.AI sur la GenAI.Enfin, côté recherche et édition scientifique, un guide opérationnel explique comment intégrer GAIDeT — la Taxonomie de Délégation d’IA Générative — dans les métadonnées Crossref via les assertions Crossmark. Le document rappelle l’enjeu de transparence des usages d’IA, propose aux auteurs de générer des déclarations avec le Générateur de Déclarations GAIDeT, puis détaille l’intégration pour éditeurs, gestionnaires de dépôts et déposants: via le champ en XML ou directement dans le formulaire de dépôt Web Crossref. Des exemples de fragments XML et d’entrées de formulaire sont fournis. Le guide recommande d’inscrire GAIDeT dans les politiques éditoriales et les workflows de dépôts, pour des divulgations lisibles par l’humain et exploitables par la machine, au service des principes de Science ...
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  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-14
    2025/09/14
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : débat sur la créativité humaine face aux outils génératifs, déploiement des agents d’Adobe pour le marketing, acquisition de GenStaq par RevRag, et transparence des usages de l’IA dans les métadonnées scientifiques avec GAIDeT.D’abord, une voix critique rappelle les limites de l’IA dite créative. Selon ce point de vue, les modèles ne produisent pas des œuvres au sens plein, mais recombinent des contenus existants, souvent de manière maladroite. Cette dynamique alimenterait une uniformisation culturelle et remplace déjà des tâches rémunérées dans le contenu simple ou la musique d’illustration. En miroir, l’auteur appelle à une renaissance d’œuvres audacieuses et singulières, citant des références comme Outer Wilds ou Twin Peaks, pour raviver l’appétence du public pour des créations humaines, perçues comme plus vibrantes et sincères. Au-delà du constat, il exprime l’espoir que cette standardisation suscite une valorisation renouvelée de l’authenticité artistique.Sur le terrain des produits, Adobe rend disponible à grande échelle ses agents d’IA pour transformer la construction, la livraison et l’optimisation des expériences client et des campagnes marketing. Au cœur du dispositif, l’Agent Orchestrator de la plateforme Adobe Experience Platform, AEP, permet de gérer et personnaliser des agents issus d’Adobe comme d’écosystèmes tiers. Objectif: comprendre le contexte, planifier des actions en plusieurs étapes et affiner les réponses. AEP, déjà utilisée par de grandes entreprises pour relier des données en temps réel, fournit le socle: connaissance des données, du contenu et des flux de travail, afin de déclencher des actions pertinentes et mesurables en termes de retour sur investissement.Adobe indique que plus de 70 % des clients AEP utilisent son assistant IA, une interface conversationnelle pour interagir avec les agents à travers les outils maison et des services tiers. Des marques comme The Hershey Company, Lenovo, Merkle, Wegmans Food Markets ou Wilson Company ont expérimenté ces capacités pour améliorer leurs opérations et l’impact sur l’expérience client.Nouvelle brique mise à disposition: l’AEP Agent Orchestrator avec un moteur de raisonnement qui combine science de la décision et modèles de langage. Il interprète l’intention exprimée en langage naturel et sélectionne dynamiquement les agents à activer dans un plan orchestré. Le tout s’accompagne d’un mode “human-in-the-loop” pour permettre aux équipes d’examiner et de corriger le tir. Des agents prêts à l’emploi seront intégrés aux applications d’entreprise d’Adobe: Real-Time Customer Data Platform, Experience Manager, Journey Optimizer et Customer Journey Analytics, avec l’objectif d’accélérer l’orchestration de l’expérience client.Prochainement, l’Experience Platform Agent Composer offrira une interface unique pour configurer et adapter les agents aux directives de marque et aux politiques internes, avec l’ambition de réduire le temps de mise en valeur. Adobe annonce aussi de nouveaux outils développeurs — SDK d’agent et registre d’agents — pour construire, étendre et orchestrer des applications agentiques, et favoriser des cas d’usage dans d’autres secteurs. L’interopérabilité est adressée via la collaboration multi-agents en protocole Agent2Agent, et des partenariats sont annoncés avec Cognizant, Google Cloud, Havas, Medallia, Omnicom, PwC et VML.Dans le même mouvement d’industrialisation des agents, RevRag.AI acquiert GenStaq.ai, spécialiste de l’orchestration de flux de travail et des opérations pour modèles de langage à grande échelle. L’objectif est de renforcer la maîtrise de l’infrastructure et d’accélérer des agents d’IA de niveau entreprise. En intégrant la plateforme modulaire de GenStaq, RevRag.AI affirme contrôler la chaîne complète, des agents applicatifs à l’infrastructure sous-jacente, pour proposer des systèmes plus sécurisés, évolutifs et personnalisables.Fondée en 2024, GenStaq a conçu une plateforme LLMOps modulaire: pipelines RAG, API basées sur des sessions et infrastructure vectorielle, pensée pour les développeurs et prête pour la production. Déjà client de GenStaq, RevRag évoque une synergie technique et culturelle. Les fondateurs de GenStaq rejoignent la direction produit et ingénierie de RevRag, qui entend élargir ses partenariats, faire progresser les flux de travail agentiques et consolider sa position sur la GenAI. GenStaq souligne que l’infrastructure a besoin de distribution, un axe déjà travaillé par RevRag sur le go-to-market.Enfin, côté édition scientifique, un guide pratique explique comment intégrer GAIDeT, la Taxonomie de Délégation de l’IA Générative, dans les métadonnées Crossref via ...
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  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-13
    2025/09/13
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : agents d’IA en entreprise chez Adobe, consolidation du marché avec RevRag, transparence des usages via GAIDeT, et un billet d’humeur sur la créativité humaine face aux modèles génératifs.Adobe ouvre la disponibilité générale de ses agents d’IA pour transformer la construction, la livraison et l’optimisation des expériences client. Au cœur du dispositif, la plateforme Adobe Experience Platform et son Agent Orchestrator permettent de gérer des agents Adobe et tiers, de comprendre le contexte, planifier des actions en plusieurs étapes et affiner les réponses. Déjà, plus de 70 % des clients AEP utilisent l’assistant IA d’Adobe comme interface conversationnelle. Des marques comme The Hershey Company, Lenovo, Merkle, Wegmans Food Markets ou Wilson Company testent ces offres pour renforcer leurs parcours client. Techniquement, l’Agent Orchestrator embarque un moteur de raisonnement mêlant science de la décision et modèles de langage pour interpréter des commandes en langage naturel et activer dynamiquement les bons agents dans un plan orchestré. Les actions visent des objectifs, avec un raffinement “human-in-the-loop”. Les agents prêts à l’emploi s’intègrent directement dans Adobe Real-Time Customer Data Platform, Adobe Experience Manager, Adobe Journey Optimizer et Adobe Customer Journey Analytics, pour accélérer l’orchestration CX. Bientôt, l’Experience Platform Agent Composer offrira une interface unique pour personnaliser les agents selon les directives de marque et les politiques internes. Côté développeurs, un SDK d’agent et un registre d’agents élargiront les cas d’usage, y compris la collaboration multi-agents via le protocole Agent2Agent. Adobe annonce enfin de nouveaux partenariats avec Cognizant, Google Cloud, Havas, Medallia, Omnicom, PwC et VML pour une exécution fluide des flux de travail et une personnalisation par industrie.Dans le même sillage “agentique”, RevRag.AI acquiert GenStaq.ai, spécialiste LLMOps et orchestration de flux. Objectif affiché : renforcer le contrôle sur toute la pile, des agents applicatifs à l’infrastructure, pour des systèmes plus sécurisés, scalables et personnalisables en entreprise. GenStaq, fondée en 2024, apporte une plateforme modulaire avec des pipelines RAG, des API basées sur des sessions et une infrastructure vectorielle, pensée développeurs et prête pour la production. Déjà client de GenStaq, RevRag y voit un alignement technique et culturel. Les fondateurs de GenStaq rejoignent la direction produit et ingénierie de RevRag, qui se concentre désormais sur l’extension des partenariats entreprise, l’avancement des flux de travail d’agents et la consolidation de sa position sur le marché de la GenAI.Changement de registre avec la transparence des usages d’IA dans la recherche. Un guide pratique explique comment intégrer la taxonomie GAIDeT (Generative AI Delegation Taxonomy) dans les métadonnées Crossref via les assertions Crossmark. L’objectif est de rendre les divulgations sur l’IA lisibles par les humains et exploitables par les machines, en phase avec la Science Ouverte et les principes FAIR. Les auteurs peuvent générer leurs déclarations grâce au Générateur de Déclarations GAIDeT. Côté éditeurs et déposants, l’intégration se fait via la balise en XML ou par le formulaire de dépôt Web Crossref. Le document fournit des extraits XML et des exemples d’entrées de formulaire, détaille les bénéfices pour auteurs, éditeurs et pour l’écosystème mondial des métadonnées, et recommande d’adopter GAIDeT dans les politiques éditoriales et les workflows des dépôts.Enfin, un texte fait écho aux tensions culturelles autour de l’IA. Il dénonce une technologie perçue comme une “photocopieuse” qui remixe des œuvres existantes, uniformise l’art et favorise la prise de risque minimale, citant des franchises comme Marvel et la nouvelle trilogie Star Wars. À rebours, il appelle à une appétence pour des projets audacieux et singuliers, citant le jeu Outer Wilds ou le film The Fountain comme exemples de créations capables de surprendre et toucher. Le message se conclut par une confiance dans la capacité humaine à produire des œuvres dérangeantes et sincères, avec une injonction à cultiver la folie créative, à la manière de Boris Vian, plutôt que de céder à la facilité des outils génératifs.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-12
    2025/09/12
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page !Aujourd’hui : confidentialité des usages quotidiens, audio génératif pour les marques, recherche web et bots, productivité des devs, nouveaux outils pour Go, réseaux sociaux et Small AI sur le terrain.Pour commencer, une solution simple pour préserver la confidentialité lors d’écrans partagés: l’extension Chrome AI Chat Blur. Elle floute automatiquement les titres de conversations dans les barres latérales et historiques de plusieurs plateformes de chat IA. On peut activer ou désactiver le flou par service, ajuster l’intensité via un curseur, et l’extension n’envoie aucune donnée: pas d’analytics, pas de pub, permissions minimales. Elle s’installe depuis le Chrome Web Store ou le Microsoft Edge Store, et il est conseillé de l’épingler. Le code source est disponible sur GitHub, où remonter idées et bugs.Restons sur l’image publique de l’IA avec la vidéo virale autour de Will Smith. Beaucoup ont cru à de faux publics générés par IA; en fait, l’IA a servi à transformer des photos réelles en courtes vidéos pour le montage. Patric et Géraldine, de Berne, y apparaissent avec une pancarte expliquant qu’une chanson de Will Smith a aidé à traverser un cancer. L’artiste a partagé leur vidéo sur Instagram et, en concert, il est descendu les saluer; Géraldine a pu le serrer dans ses bras. La génération vidéo a donné un rendu étrange, semant le doute sur leur existence, et certains médias ont parlé de “carburant de cauchemar”. Eux retiennent le message d’espoir; l’épisode illustre comment l’IA peut brouiller la perception du réel.Cap sur le son avec Stable Audio 2.5 de Stability AI, un modèle pensé pour la production audio en entreprise. Objectif: créer des compositions personnalisées pour les marques, alors qu’une identité sonore rend une marque huit fois plus mémorable, mais n’est utilisée que dans 6% des créations. Le modèle génère des pistes de trois minutes en moins de deux secondes via la méthode ARC, qui améliore structure musicale et respect des prompts, y compris les moods et styles. Il propose aussi l’inpainting audio: on importe un extrait, on choisit le point de départ, le modèle complète le reste en contexte. Disponible via l’API Stability AI et sur fal, Replicate, ComfyUI; licences d’entreprise et services pro pour déploiements internes. Une collaboration avec l’agence amp vise des identités sonores pour des clients de WPP.Côté recherche en ligne, une étude Gartner indique que 53% des utilisateurs se méfient des résultats basés sur l’IA: résumés jugés plus frustrants, manque de transparence, informations clés omises, biais possibles. Google teste un “AI Mode” où Gemini génère toute la page sans les “10 liens bleus”. La refonte, avec l’IA en mode par défaut, pourrait réduire les clics vers les sites et affecter le modèle économique du web. Dans le même esprit, Google expérimente des raccourcis vers ce Mode IA directement dans les suggestions de la barre de recherche: quelques utilisateurs disent les voir, capture à l’appui, mais le test n’est pas généralisé.Sur la promesse de productivité, le développeur Mike Judge constate un décalage: une étude de METR montre que l’IA ralentit les devs de 19%. Lui-même s’est mesuré 21% moins productif, malgré un ressenti initial de +25%. Les données publiques ne montrent pas de boom: sorties d’apps stables ou en baisse sur Apple et Google Play, hausse de titres sur Steam mais sans pic attribuable à l’IA, pas de hausse notable des nouveaux dépôts GitHub. Les licenciements tech relèvent plutôt de l’économie; peu de créations d’apps “sur le temps libre”. Il invite à demander des preuves aux partisans du “x10”.Pour les équipes Go, Google annonce Genkit Go 1.0, version stable de son cadre open-source pour construire des applications IA. API unifiée pour modèles Google AI, Vertex AI, OpenAI, Anthropic, Ollama; multimodal, sorties structurées, appel d’outils, RAG et workflows agentiques. Les “flows” offrent observabilité, tests facilités et déploiement simplifié; exposition en HTTP avec peu de configuration. Chaîne d’outils locale via une CLI unique, intégrée au flux Go, et compatibilité garantie sur les versions 1.*. Nouvelle commande “genkit init:ai-tools” pour configurer automatiquement les assistants de code populaires, en JS comme en Go.Sam Altman estime que les réseaux sociaux paraissent de plus en plus “faux” sous l’afflux de contenus générés par IA. Imperva chiffre à plus de la moitié la part du trafic Internet 2024 due aux bots. Altman s’interroge sur l’authenticité de ce qu’il lit, y compris pour des succès comme Codex. L’ironie n’échappe pas: OpenAI a contribué à ce mouvement et a utilisé des données de Reddit pour l’entraînement. Il ...
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  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-11
    2025/09/11
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : la relation entre IA et design, l'intégration de l'IA dans l'éducation, et l'impact des IA génératives sur la recherche scientifique.Commençons par explorer la relation complexe entre l'intelligence artificielle et le design d'interface. La designer Nolwenn Maudet souligne que l'essor de l'IA a entraîné une standardisation du design, réduisant le contrôle des utilisateurs sur les interfaces. Historiquement, le design visait à donner aux humains le contrôle sur les machines, tandis que l'IA cherche à rendre les machines autonomes. Cette dynamique a conduit à une homogénéisation des interfaces, limitant l'expérimentation et la personnalisation. Maudet propose que le design pourrait offrir des solutions plus simples, encourageant la réflexivité plutôt que de complexifier les algorithmes pour corriger leurs biais.Passons maintenant à l'éducation, où l'IA s'immisce de manière croissante. À l'Université d'État de l'Ohio, chaque étudiant de première année doit désormais étudier l'utilisation de l'IA. D'autres institutions, comme l'Université d'Hawaï, utilisent des chatbots pour surveiller le bien-être des étudiants. Cependant, cette intégration suscite des inquiétudes, notamment sur la confidentialité des données et l'impact sur la réflexion critique des étudiants. Des voix s'élèvent pour rappeler l'importance de la pensée humaine authentique dans l'enseignement, soulignant que l'intégration de l'IA n'est pas inévitable.En parallèle, les moteurs de recherche évoluent avec l'intégration de l'IA. Google et Microsoft ont lancé des fonctionnalités qui transforment la recherche en une consommation passive d'informations générées par l'IA. Cette tendance pourrait étouffer les sites indépendants et les communautés en ligne, en réduisant la diversité des sources d'information. Mojeek, un moteur de recherche alternatif, s'engage à utiliser l'IA pour soutenir la recherche sans la supplanter, préservant ainsi l'autonomie et la curiosité des utilisateurs.Enfin, examinons l'efficacité des IA génératives dans la revue de la littérature scientifique. Des outils comme Perplexity Academic et Felo sont critiqués pour leur manque de rigueur scientifique. Lors de tests, ces IA ont omis des références essentielles et généré des réponses biaisées. Leur incapacité à fournir des analyses approfondies souligne l'importance de la lecture critique et de l'analyse par les étudiants, qui restent essentielles pour développer une véritable compétence scientifique.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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    3 分
  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-10
    2025/09/10
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : Google révolutionne le design UX/UI, les défis juridiques d'Anthropic, et l'évolution des API avec l'IA.Commençons par Google, qui a récemment dévoilé Stitch, un outil en version bêta qui pourrait transformer le travail des designers UX/UI. Annoncé lors de la conférence Google I/O 2025, Stitch utilise l'intelligence artificielle pour convertir des descriptions en langage naturel en interfaces utilisateur fonctionnelles. Par exemple, une simple phrase peut générer une application mobile complète avec le code HTML/CSS nécessaire. L'outil propose deux modes : Flash, pour une génération rapide, et Pro, pour des résultats plus sophistiqués. Stitch s'intègre également avec Figma, permettant aux designers d'exporter leurs créations tout en préservant les calques et composants. Bien que gratuit pour l'instant, Stitch est limité à 350 générations par mois en mode Flash et 50 en mode Pro. Disponible dans 212 pays, il nécessite un compte Google et fonctionne uniquement en anglais.Passons maintenant à Anthropic, qui a accepté de verser 1,5 milliard de dollars pour régler un procès concernant l'utilisation d'œuvres protégées par le droit d'auteur pour entraîner ses modèles d'IA. Ce règlement est le plus important jamais enregistré pour une violation de droits d'auteur dans le secteur technologique. Anthropic a également annoncé une révision de ses Conditions générales et de sa Politique de confidentialité, ce qui pourrait affecter la collecte et l'utilisation des données des utilisateurs. Par ailleurs, l'entreprise a récemment levé 13 milliards de dollars, portant sa valorisation à 183 milliards de dollars. Cette affaire souligne les tensions entre innovation technologique et protection des droits d'auteur, un débat qui continue de diviser l'industrie.Enfin, explorons la relation entre les API et l'IA. Les API sont essentielles pour connecter les services et partager les données, mais leur complexité croissante pose des défis. L'IA intervient pour rationaliser et améliorer cet écosystème, transformant une recherche fastidieuse en un processus plus fluide. Cependant, l'échelle des API peut devenir un goulot d'étranglement pour les agents IA, surtout lorsqu'ils doivent naviguer dans des milliers de points d'accès. Pour résoudre ce problème, des solutions sont proposées pour rendre les API plus évolutives, garantissant ainsi des performances fiables et des résultats précis. Cette symbiose entre API et IA promet une nouvelle ère de productivité et d'innovation.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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    3 分
  • L'IA aujourd'hui épisode du 2025-09-09
    2025/09/09
    Bonjour et bienvenue dans le podcast de l'IA par l’IA qui vous permet de rester à la page ! Aujourd’hui : l'appel à la prudence dans l'adoption de l'IA dans l'éducation, un accord majeur d'Anthropic sur les droits d'auteur, l'impact de l'IA sur l'enseignement, et le lancement d'un modèle open source en Suisse.Commençons par l'appel lancé par des chercheurs en sciences cognitives et en intelligence artificielle. Ils exhortent les universités à ne pas adopter l'IA de manière non critique. Un article récent met en garde contre l'impact potentiel de l'IA sur les compétences cognitives des étudiants, soulignant que l'IA pourrait affaiblir la rétention et la pensée critique. Les chercheurs appellent à une réflexion approfondie pour éviter que l'éducation ne soit dictée par les géants de la Silicon Valley. Ils comparent cette situation à des erreurs passées comme celles du tabac et des moteurs à combustion, soulignant l'importance de protéger l'intégrité scientifique et la liberté académique.Passons maintenant à Anthropic, une start-up américaine d'intelligence artificielle, qui a accepté de verser au moins 1,5 milliard de dollars à un fonds d'indemnisation pour les auteurs et éditeurs. Cet accord fait suite à des poursuites pour téléchargement illégal de millions de livres. Bien que l'utilisation d'œuvres protégées pour entraîner des IA ne soit pas illégale en soi, Anthropic a été reconnue coupable d'avoir utilisé des livres piratés. Le montant pourrait augmenter si plus de 500 000 livres sont concernés, chaque ouvrage supplémentaire entraînant un versement de 3 000 dollars. Cet accord, qui doit encore être validé par un juge fédéral, permet à Anthropic d'éviter un procès potentiellement dévastateur.En France, l'impact de l'IA sur l'éducation est déjà visible. Mickaël Bertrand, professeur au lycée Charles de Gaulle à Dijon, a développé des modules d'apprentissage de l'IA pour aider les élèves à comprendre cette technologie. Les retours sont variés : certains élèves, déjà familiers avec l'IA, n'ont pas besoin d'aide, tandis que d'autres, moins efficaces, bénéficient de cette formation. Les parents sont partagés, certains craignant les risques cognitifs et environnementaux, d'autres appréciant cette opportunité éducative. L'IA pousse les enseignants à redéfinir leur rôle, se concentrant sur l'apprentissage plutôt que sur la simple transmission de connaissances.Enfin, la Suisse a lancé "Apertus", un modèle d'intelligence artificielle open source. Développé en collaboration avec l'EPFL, l'ETH Zurich et le CSCS, Apertus se distingue par sa transparence et son accessibilité. Entraîné sur des données publiques, il respecte les demandes de retrait de données personnelles. Disponible en deux versions, il prend en charge 1 811 langues, y compris des langues sous-représentées. Distribué sous une licence open source, Apertus est accessible via des plateformes comme Hugging Face et Swisscom. Les développeurs prévoient d'adapter Apertus à des domaines spécifiques, élargissant ainsi son impact potentiel.Voilà qui conclut notre épisode d’aujourd’hui. Merci de nous avoir rejoints, et n’oubliez pas de vous abonner pour ne manquer aucune de nos discussions passionnantes. À très bientôt dans L'IA Aujourd’hui !

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