Son esprit d’analyse et ses mots enrichissent le débat public sur les problématiques actuelles mais aussi sur… l’Histoire… parfois douloureuse.
Là où le « brillant » s’écaille comme un vernis, mon nouvel invité, lui, s’illustre par une pensée dense, profonde, qui m’a donné envie de creuser, d’en savoir davantage… pour la partager, surtout, avec vous.
Dans un quotidien ultra-violent, HAINEUX, VINDICATIF, oppressant, incompréhensible et FOU… en lisant vos tweets - Ferghane Azihari-, j’ai ressenti, à plusieurs reprises, et de façon fugace, une chose étrange.
Une sorte de paix intérieure.
Oui. Un apaisement.
Car il y a dans votre manière d’analyser le réel quelque chose qui cadre, qui structure, qui remet en perspective la vérité de l’Histoire, si simplement que c’en est troublant. Déconcertant parfois.
Avec une rigueur intellectuelle, TOUJOURS.
Le grand public, vous connaît encore trop peu. Et moi, j’aime également donner la parole aux voix émergentes… à celles qui, peut-être, ont le pouvoir de guérir un peu les plaies de notre époque.
Alors, soyons francs : l’économie n’est pas mon domaine de prédilection. Mais c’est le vôtre.
Chroniqueur au magazine Le Point, directeur général de l’École de la liberté – un établissement dédié au rayonnement de la pensée libérale dans la sphère académique –, membre de la Société d’Économie Politique.
Vos parents ont fui les Comores - Ferghane Azihari -, pour la France. Et vous, aujourd’hui, vous êtes devenu essayiste, critique, explorateur des idéologies, tweeteur… Xeur (…je ne sais plus comment dire…) ce néologisme sonne étrangement… je ne sais plus comment dire…
à coup de phrases ciselées qui mettent en lumière les angles morts de l’actualité et de l’Histoire.
Ce que j’apprécie par-dessus tout ? Votre capacité à transformer une controverse en réflexion collective. Et votre regard sans compromis ni fioriture, vous ne vous excusez PAS !!!
Votre ouvrage Les écologistes contre la modernité, publié en 2021, dissèque les contradictions d’un écologisme radical pour lui opposer une vision où progrès et environnement coexistent, guidés par la science et la liberté. Alors, je ne suis peut-être pas d’accord avec tout ce que vous dites, mais suffisamment pour vous tendre mon micro…
Je dédie cet épisode à tous les otages toujours entre les mains du Hamas, ainsi qu’à toutes celles dont on a voulu taire la parole il y a 3 jours, lors de la manifestation du 8 mars, journée internationale des droits des femmes.
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