エピソード

  • Avec Guy Savoy, la cuisine fait – enfin - son entrée à l’académie des Beaux-Arts
    2024/11/23

    L’annonce a été faite un mercredi soir, discrètement, à l’image du chef honoré : Guy Savoy est élu à l’académie des Beaux-Arts. Pour la première fois dans l’histoire de cette institution créée en 1805 par Napoléon, un cuisinier devient l’un de ses membres, et avec lui, la gastronomie toute entière est reconnue pour ce qu’elle est : un art à part entière.

    Avec son élection, L’académie explique saluer « un éminent représentant de la gastronomie française, un humaniste, passionné d’art contemporain qui contribue au rayonnement international de la France. »

    Le chef multi-étoilé nous a reçus à l’Hôtel de la Monnaie, dans son restaurant, pour évoquer sa nomination, sa carrière, sa passion pour l’art contemporain, sa complicité avec les artistes, l’amour pour son métier et sa gourmandise.

    Restaurant Guy Savoy et Instagram.

    Guy Savoy est l’auteur de plusieurs livres autour de la cuisine, de la littérature dont : Le goût de Stendhal, « Guy Savoy cuisine les écrivains du 18ème siècle » avec Anne Martinetti, vient de paraître aux éditions Herscher.

    Dans l’émission, il est question de plusieurs artistes contemporains exposés sur les murs du restaurant, ici quelques liens pour les découvrir :

    Fabrice Hyber

    Fabienne Verdier

    Adel Abdessemed

    Subodh Gupta

    L’académie des Beaux-Arts

    Le repas gastronomique des Français, patrimoine culturel immatériel à l’Unesco

    Côté musique, De vous à moi de Flavia Coelho.

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • Le petit déjeuner, une autre histoire du monde
    2024/11/16

    Café ? thé ? chocolat ? avec un peu de sucre ? Un coup d’œil à nos petits déjeuners et à nos tasses de boissons chaudes, et c’est une autre histoire du monde que l’on découvre.

    Choisissez votre préféré : Thé, café, chocolat ? Des produits exotiques découverts au Mexique, en Éthiopie, au Yémen, en Asie que les Européens ne pouvaient cultiver au Nord, et auquel pourtant ils avaient pris goût. Plus ancienne encore : la découverte de la canne à sucre, « ce roseau qui donne du miel sans le recours des abeilles », dont la valeur dépasse celle de l’or au XVè siècle.

    Ce petit déjeuner s’avère pionnier de l’industrie agroalimentaire, aux sources mêmes de la colonisation et de la mondialisation.

    Avec Christian Grataloup, géo-historien, professeur émérite, auteur de « Le monde dans nos tasses, une étonnante histoire du petit déjeuner », publié aux éditions Payot.

    Le sucre est l’élément de base sur lequel sera construit le modèle de la plantation, et donc le recours aux esclaves.

    Thomas Clouet est animateur TV et cuisinier. Il publie « Petit déjeuner, tout un monde en 150 recettes », aux éditions Flammarion. Curieux, Thomas Clouet s’est passionné pour le sujet et s’est laissé presque surprendre par la richesse de ce repas auquel la littérature culinaire prête généralement peu d’attention.

    Au micro de Catherine Fruchon-Toussaint, de RFI, qui aime aussi les livres de cuisine. Pour suivre Thomas Clouet sur les réseaux.

    Pour aller plus loin

    - Robert Fortune. La route du thé et des fleurs. Éditions Payot.

    - Histoire du sucre, histoire du monde, de James Walvin. Éditions de la Découverte

    - L’usage du thé, une histoire sensible du monde, de Lucie Azéma. Éditions Flammarion

    - Quelques adresses où petit déjeuner : le Holy Belly café à Paris, rue Sampaix, Arthurs Nosh à Montréal, Aux bons amis pour un bouillon, des bao, du tofu sucré, ou aux algues à Belleville, Mûre à Paris, Keliba café à Dakar.

    Côté musique : Oh Bahia, de Dino d’Santiago et Luedji Luna.

    En images

    Recettes :

    Issues du livre de Thomas Clouet ; Le petit déjeuner, tout un monde en 150 recettes, aux éditions Flammarion.

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • Jubilatoire ! L’Afrique crée une nouvelle cuisine en France
    2024/11/09

    Inspirante, décomplexée, riche et courtisée : la nouvelle cuisine créée par les chef-fes africains, afro-descendants, afropéens est jubilatoire. Ils osent remettre à plat les traditions, insufflant de la vie et du mouvement aux recettes patrimoines, ils créent en France une nouvelle cuisine inédite, exquise, inspirante.

    « L’Afrique cuisine en France », de la documentariste Vérane Frédiani est un passionnant livre enquête -tour de France sur ces chef-fes qui ont choisi – merci à eux – la France pour créer, qu’elle soit leur terre natale, pays de racine ou d’adoption. Un écho à la société comme bien souvent avec la cuisine.

    La France enfermée dans sa tradition gastronomique et ses codes n’est pas une terre facile à conquérir, et à ouvrir au monde, Jules Niang se souvient qu’il lui a fallu «ramer » au départ, à l’ouverture de son restaurant Petit Ogre à Lyon, temple s’il en est de la gastronomie française, mais la population est curieuse. « Je ne reproduis pas les plats africains, l’idée c’est de travailler en partant des produits : je vais prendre des produits, les connecter avec d’autres de saison, on peut aimer le mil avec le poisson qu’on a l’habitude de manger, le baobab avec le veau que l’on connait. » Le chef se dit « heureux d’arriver à cette époque de l’histoire où l’on en est à écrire cette page de l’histoire de la cuisine africaine en France. » dans la foulée de ceux qui avaient initié ce changement. La différence ? Nous sommes de plus en plus nombreux se réjouissent les chefs, et Vérane Frédiani avec eux.

    Avec Vérane Frédiani, journaliste, documentariste, réalisatrice et autrice de « L’Afrique cuisine en France », aux éditions de La Martinière, « Marseille cuisine le monde ».

    Jules Niang est le chef propriétaire du restaurant le Petit Ogre

    Ornella Anani est fromagère et la fondatrice l’entreprise « Mon fromage peuhl du Bénin ». Elle prépare et vend wagashi.

    Pour aller plus loin

    - Mon Afrique, d'Anto Cocagne, aux éditions Mango

    - Good Afrique, d'Anto Cocagne et Aline Princet, aux éditions Mango

    - L’Afrique a du goût sur Cuisine TV

    - La cuisine contemporaine africaine, d’Alexander Smalls avec Nina Oduro, aux éditions Phaïdon

    - Plats express aux saveurs d’Afrique, de Cheikh Niang

    - Le goût de Cotonou, de Georgiana Viou, aux éditions Ducasse

    - Pastels et Yassa, d'Aïssatou Mbaye, ainsi que saveurs subsahariennes

    - Mafé, Yassa et Gombo, d'Alexandre Bella Ola, Éditions First

    - La cuisine d’Afrique Vegan, de Marie Kacouchia, éditions La Plage

    - Les grandes tables à Marseille – cuisine du quotidien et de l’extraordinaire

    - Les journées de la chaire alimentation du monde à Montpellier organisées par le CIRAD

    Côté musique : Issa, titre de l’album Héritage, du groupe Songhoy Blues.

    EN IMAGES

    LES RECETTES

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • La cuisine de la consolation
    2024/11/02

    Est-ce la cuisine ou le fait d’être ensemble, de partager, de laisser les gestes faire, les mains caresser, les larmes couler, les vivants entourer et nourrir les endeuillés. Parce qu’elle est rituelle, culturelle, qu’elle se passe de mots quand la douleur et le chagrin submergent les cœurs, parce qu’elle est la vie, même dans la mort. Elle accompagne cette nouvelle vie sans lui, sans elle, et ouvre un monde nouveau avec nos morts. (Rediffusion)

    La cuisine permet de faire un pont entre les mondes. Dans bien des cultures, la frontière s’efface, les vivants vivent avec leurs morts, dans le souvenir, parfois même sans penser à la mort comme une fin, mais comme une étape.

    En cuisinant, les mains font, les esprits parfois entrent dans une sorte de méditation, pour d’autres la parole se libère, les bouches racontent. On parle aux enfants des grands-parents, des ancêtres qu’ils n’ont pas forcément connus, mais dont le souvenir ravive la présence. On se rappelle les plats préférés, les habitudes, les manies, des anecdotes, le dialogue se poursuit, par-delà la mort.

    Avec Stéphanie Schwartzbrod, comédienne, biographe, écrivain, auteure de « La cuisine de la consolation » chez Actes Sud, des récits, et des recettes, de la cuisine de l’exil et de saveurs sacrées.

    « On goûte un plat, et d’une saveur avoir l’impression que la personne disparue avec qui on partageait ce plat est avec nous, qu’elle est là ».

    Pour aller plus loin

    - « Manger fantômes » de Ryoko Sekiguchi, éditions L’Atelier de l’Argol

    - « Sacre » de Lorraine de Sagazan

    - Vinciane Despret, « Les morts à l’œuvre », éditions La Découverte 2023

    - « Soigner les morts pour guérir les vivants », de Magali Molinié 2006

    - Dis à mes amis que je suis mort, film documentaire de Nino Kirtadzé

    - Dia de los muertos, Le goût du monde sur RFI

    - Cuisine et spiritualité avec Luna Kyung et Judith Baumann dans Le goût du monde

    - « The wandering chef », de Hye Ryong Park autour et à propos du chef coréen Lim Ji Ho

    - Le travail de Doriane Albert et Anna Gianferrari

    - « Leurres et lueurs » de Birago Diop

    Sur un air de Llorona de La Mana.

    Notre adresse pour nous écrire : lgdm@rfi.fr

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • Indice géographique (IG) : le Sud protège et valorise les trésors de son terroir à l’international
    2024/10/26

    Le poivre de Penja a le premier bénéficié d’une indication géographique, en 2013. Premier « label » octroyé par l’AOPI – l’organisation africaine de la propriété intellectuelle. L’objectif ? Comme au nord, protéger et valoriser un terroir, un savoir-faire et des hommes, en Afrique, mais également aux yeux du monde.

    Depuis 2013, d’autres produits ont reçu ce signe « Indication géographique », récemment en Côte d’Ivoire, l’attiéké des lagunes a été identifié et protégé, le miel d’Oku, le café des montagnes de Man, ou encore l’ananas pain de sucre du Bénin.

    Comment ces signes sont-ils octroyés ? Comment sont-ils protégés et aux yeux de qui sont-ils reconnus ? Réponses avec Carole Ly, la directrice de l’INAO, l’institut national de l’origine et de la qualité. Avec les reportages de Cerise Maréchaud et Alice Milot pour «C'est pas du vent».

    Pour aller plus loin

    - AOPI, l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle

    - L’attiéké des lagunes en Côte d’Ivoire protégé par l’AOPI Propriété intellectuelle : L'« Attiéké des lagunes», le « Pagne baoulé » et le « Café des montagnes de Man », Trois produits made in Côte d'Ivoire, labellisés

    - Pour en savoir plus sur le miel africain

    - IGP AOP volet 1.

    Côté Musique : Mbenda de Yammè, ainsi qu'un peu de vinaigrette sur le dessus.

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • IGP, AOP : des signes pour protéger et valoriser un terroir, un savoir-faire, une origine
    2024/10/19

    Comté, champagne, riz basmati, piment d'Espelette, lentilles vertes du Puy, ananas pain de sucre du Bénin, poivre de Penja : qu’ont-ils en commun ? Un signe qui les distingue et les valorise, une Indication Géographique ou une appellation reconnue et protégée au niveau national et international.

    Comment s’octroient ces signes ? Quels intérêts pour les producteurs et pour les mangeurs ? Quelle valorisation ? Des signes pour se protéger et s’ouvrir au monde différemment, comme l’explique notre invitée, Carole Ly, directrice de l’INAO, Institut national de l’origine et de la qualité.

    Outre les Indications géographiques (IG), protégées en France et en Europe (IGP), d’autres signes existent plus ou moins connus du public : Les AOP - appellations d’origine protégées, AOC - appellations d’origine contrôlées, Label Rouge, AB- Agriculture Biologique.

    Dans cette émission, vous entendrez un extrait du reportage réalisé dans une fruitière de comté à Plasne, dans le Jura. Pour l’écouter en intégralité.

    - La maison du comté à Poligny.

    Rencontre avec François Gagnaire, le chef auvergnat du restaurant Anicia. La lentille verte du Puy y est une star, savoureuse, cuisinée avec astuce, sobriété ou luxe ! Pour le chef, la lentille est un trésor, un caviar du pauvre. Anicia, 97 rue du Cherche Midi, dans le 6ème arrondissement de Paris.

    Le terroir auvergnat balayé par le Foehn, et où se trouve ce foin précieux : le foin du Mezenc.

    Pour aller plus loin :

    - Sur le site de l’INAO, découvrez les produits protégés dans votre région, en Europe.

    - Sur le site du réseau d’information de l’Union européenne

    - Découvrez l’OAPI qui protège et distingue des produits en Afrique de l’Ouest : l’ananas pain de sucre du Bénin, le poivre de Penja, et l’attieke de Côte d’Ivoire depuis 2024

    - IGP, AOP, AOC qu’est-ce que ça change : le point de vue d’un éleveur artisan de la vallée des Aldudes au Pays Basque.

    La musique : Avéou Doudou, de Jean-Claude Naimro.

    En images

    Recettes :

    Ces recettes proviennent du site internet « La lentille verte du Puy » riche en explications sur la filière, cette lentille bien particulière, et en recettes savoureuses et surprenantes, telle une version sucrée de la lentille verte du Puy : un gâteau au chocolat et lentilles.

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • La revanche du pâtissier Silax
    2024/10/12

    Silax, un nom qui brille, qui claque comme on dit, que l’on retient. Silax, le nom de la pâtisserie de Silamaka Soukouna à Fontenay-sous-Bois : un établissement gastronomique, chic, qui propose des gâteaux, rien que des gâteaux, insolents de douceurs et de soleil : Coco djambo, Mango mango, igloo cassis, fraisier et bientôt un Paris-Bamako, un capitole.

    De la douceur par brassées pour une pâtisserie aux allures de revanche sur la vie et les galères pour son fondateur, Silamaka Soukouna. Enfant, Silax a vécu avec sa famille dans des logements supposés temporaires, pendant des années, des logements précaires en bordure de cité. Il lui a fallu faire preuve d’une volonté exemplaire et travailler sans relâche pour se construire un avenir, et ouvrir finalement sa boutique, un jour de décembre 2021. Silamaka Soukouna est resté à Fontenay, il espère maintenant ouvrir une école de pâtisserie « pour que d’autres gamins comme celui que j’ai été, dans les quartiers, aient leur chance et une figure à laquelle s’identifier en se disant : c’est possible ! »

    Avec Silamaka Soukouna, pâtissier, fondateur de Silax, « pâtisserie fine de banlieue » telle qu’elle est présentée sur son compte Instagram. L’adresse : 3 place du Général Leclerc à Fontenay-sous-Bois.

    Dans l’émission aussi :

    - Les mots de Boris Tavernier, président de l’association VRAC vers un réseau d’achat en commun qui propose du bio à prix coûtant dans les quartiers : Vrac organise des concours culinaires pour les adultes, et pour les enfants. J’avais été jury une année

    - Quelques notes de « À chacun sa bohème », de Grand Corps Malade et Charles Aznavour

    - Un extrait du journal Télévisé d’Antenne 2. 1992

    - La musique : Bats-toi, d'Abou Tall, pépite de la playlist de RFI

    - Pas 2 quartier sur France 24 : Silax le goût de l’effort.

    続きを読む 一部表示
    29 分
  • La pizza ou la liberté absolue !
    2024/10/05

    Sur sa pâte, se raconte le meilleur, le plus simple comme le plus extraordinaire : la pizza est une fille ronde du sud de l’Italie, une enfant de Naples qui, en portant le nom d’une reine, a séduit le nord (du pays) avant de conquérir le monde.

    La manger est une culture, un patrimoine. Frite, blanche, fourrée, en slice, moite-moite, avec ou sans huile pimentée, la pizza incarne le lieu où elle est façonnée, elle en est la traduction comestible. Sa pâte agit comme une feuille blanche sur laquelle l’histoire des ingrédients qui la recouvrent peut s’écrire, des tomates du Piennolo dont les pieds sont plantés dans les terres entourant Naples et le Vésuve, au provolone, à la ricotta, ou la mozzarella de la côte, à moins qu’il ne s’agisse… des champignons de Paris sur les funghis de Jacques Bizot chez « Bobby »? Ils poussent en « aquaponie » dans des fermes urbaines des sous-sols parisiens, ou encore, pourquoi pas une pizza piment-gombo ? Elle est locale, vivante, elle s’adapte.

    La pizza est l’expression de la liberté absolue, elle est joyeuse, contemporaine et patrimoniale explique dans un rire Alba Pezone, napolitaine et parisienne, autrice de «Pizza mania», livre dans lequel elle partage plus de 100 recettes et s’interroge, en voyageant de l’Italie, à Marseille à Paris, sur ce que serait « une vraie pizza » avant de croquer dans un pide.

    La part belle est faite aux pâtes des « pizze », et à la farine utilisée – une farine de « force » pour une bonne fermentation et pour le pétrissage, la cuisson dans un four très chaud, à moins que vous n’optiez pour une pizza frite ? Une gourmandise napolitaine peu connue en dehors de Naples

    « À Naples, explique Alba, la plus napolitaine et qui ne s’est jamais vraiment exportée c’est la pizza fritta. C’est une Pizza garnie, un double disque de pâtes, garni, passé en friture. Très compliquée à préparer, elle a l’air facile comme cela, très populaire, mais c’est un vrai savoir-faire ! »

    Avec Alba Pezone, Napolitaine, cuisinière, autrice. Elle publie Pizza Mania, aux éditions de La Martinière.

    Jacques Bizot, pizzaïolo et patron avec son complice Geoffroy de « Bobby », 29 rue Lambert dans le 18ème à Paris, et Vafamoc 39 rue des vinaigriers dans le 10ème arrondissement.

    La pizza est aussi marseillaise, cuite au feu de bois dans des camions à Pizza : question à l’amie Esterelle Payany, critique culinaire, élevée à l’italienne à Marseille : quel goût a donc cette marseillaise et comment la mange-t-on ?

    Sans oublier une bouchée de Lahmacun chez « Anadolia » avec Zahide, à Boulogne-Billancourt, 41 rue Nationale et rue Yves Kermen. On y a découvert à cette occasion les « tantuni », morceaux de bœuf revenus avec du piment dans un ustensile bien particulier, et servis dans une galette pliée en deux, délicieux !

    Pour aller plus loin

    - In Cucina, d'Alba Pezone, éditions Hachette

    - L’association de la vraie pizza napolitaine avec des cours en ligne, Une liste des fournisseurs, des pizzeria et pizzaïolos reconnus par l’association

    - Pizza, culture et mondialisation, de Sylvie Sanchez, éditions Biblis

    - Naples, écouter la ville - Émission Écouter le monde

    - Un voyage dans le monde des pains dans le monde arabe, avec Karim Haïdar, le chef conteur de la boutique à manger « Les mots et le ciel », rue Olivier de Serres à Paris et de Bistro Samaa, rue Guillaume Bertrand dans le 11ème.

    Côté musique, du soleil : Sunshine Music, de Maami and the Lipsticks Queen.

    En images

    Les recettes

    続きを読む 一部表示
    29 分